Trois interviews pour le prix d’une !
Les interviews sont classée de la plus récente à la plus ancienne
Tom Felton
Après la FanExpo dont nous vous avions fait un bref compte-rendu ICI, c’est à la Dragon*Con que l’acteur qui iterprète Drago Malefoy a prit le micro pour répondre à des questions de fans. Il y a entre autre rappelé qu’il n’était pas encore sur Pottermore, comme d’autres acteur de la série ; il attend encore son mail !
Il a glissé deux mots sur son personnage dans le film From the Rough (sortie prévue à l’automne 2011), le présentant comme un sud-coréen nommé Edward qui tombe amoureux.
De retour sur Harry Potter, il a mentionné ses sortilèges préférés, l’Expelliarmus et l’Avada Kedavra, le fait que Lockhart est son personnage préféré, personnage qui apparaît d’ailleurs dans son tome préféré : La Chambre des Secrets.
Quant à sa scène préférée, l’acteur semble faire la part belle à l’action, en citant la bataille dans le dernier film [N.d.l.R. autrement dit, le dernier film, non ?] et la scène de combat entre Drago et Harry dans les toilettes des filles.
Vous pouvez trouver d’autres questions et réponses ci-dessous.
Question: Comment ressens-tu la manière dont ton personnage est vieilli dans l’épilogue ?
Tom: Horrible… Je suis supposé incarner le fils de Jason Isaac et je ressemblais à son père.
Question: Quel autre personnage de la saga aurais-tu aimé incarner ?
Tom: Hermione ! Mais j’aime l’idée de jouer Voldemort ou de revenir en tant que Lucius Malefoy dans un remake.
Question: Qu’aurais-tu changé au personnage de Drago ?
Tom: Drago serait revenu de héroïquement pour sauver tout le monde.
Question: Y a-t-il une scène des films qui a été coupée au montage et que tu souhaiterais voir dans une version longue ?
Tom: Bien sûr, elles sont même nombreuses. Il y en a une en particulier qui se trouve dans les bonus du DVD de La Chambre des Secrets entre Drago et Lucius.
Les Jumeaux Phelps
Deux brèves interviews des jumeaux Phelps (Fred et George Weasley) sont parues dans le magasine NOIR pour la publication de l’été. Ils y parlent de leurs moment préférés sur le tournage et de leurs souvenirs sur les plateaux de Leavesden. La Gazette vous offre une traduction des interviews en intégralité.
Oliver Phelps
Ce que je préférais faire durant le tournage des Reliques de la Mort, c’était aller chez Emma Watson à Londres avec James, Dan, Rupert, Matthew Lewis, Alfie Enoch, Bonnie et Evanna pour discuter des dix dernières années.
Lors de mon dernier jour de tournage, c’était assez dur de voir les bulldozers près à détruire la moitié des studios.
Ma scène préférée du dernier film est le discours de Voldemort dans la cour, face à tous les élèves de Poudlard.
Filmer la bataille de Poudlard fut épique ! Il y avait tant d’actions et de combats. La plupart des bâtiments de Poudlard semblaient avoir subit un bombardement.
La scène la plus dure à tourner fut de réagir à un truc qui arrive à Fred.
Le gros avantage à jouer Geroge était de pouvoir la plupart du temps rire et sourire et ne pas sembler hors-sujet.
Je ressemble un peu à mon personnage parce que je pense qu’à force d’avoir joué un plaisantin insouciant pour une bonne partie de mon adolescence, quelque chose s’est ancré en moi. J’aime faire des blagues, mais je pense que je sais où est la limite alors que Georges ne le saurait pas. James et moi faisions pas mal de blagues sur le tournage… Rupert aussi, d’ailleurs !
Ce dont je me rappelle le plus à propos de mon premier jour de tournage c’est que nous filmions la toute dernière scène du film.
L’ambiance sur le tournage d’un Harry Potter était très détendue est sympathique.
La chose la plus cool que j’ai eu à faire pour le film était de frapper un cascadeur de l’autre côté de la table dans La Coupe de Feu.
Le moment le plus embarrassant sur le tournage, c’était quand je courait avec mes habits de Quidditch, que j’ai trébuché sur mon balais et que je me suis étalé.
Dans n’importe quel film, j’ai toujours voulu subir une blessure de guerre, et je suppose qu’il n’y a rien de mieux que de perdre une oreille ! Passer la journée avec une prothèse collée sur le côté de ma tête, il a fallut s’y habituer, mais c’était très amusant de bosser avec l’équipe du maquillage.
Parmi tous les acteurs sur le tournage, j’ai vraiment aimé travailler avec Rupert Grint.
J’ai réalisé l’importance des films Harry Potter pour la première fois quand j’étais à Cancun, au Mexique, en 2002, et que tous les Américains me reconnaissaient.
Parmi tous les réalisateurs qui ont travaillé sur la série, je n’ai aucun favoris. Ils avaient tous un style différents et des idées, et c’était sympa de pouvoir apprendre de leurs consignes. David Yates m’a fait essayer de mettre en relation ce qui arrivait à mon personnage avec des évènements de ma propre vie, ce qui rend les choses plus réelles. Mike Newel [La Coupe de Feu] aimait mon sens de l’humour et m’a laissé le transposer sur le personnage. Alfonso Cuaron [Le Prisonnier d’Azkaban] nous a fait finir les phrases de l’autre à James et moi, ce qui avait un bon effet. Sans Chris Colombus, je n’aurais pas fait partie de l’aventure. Quand on pense que nous n’étions que des gosses, sa patience fut extraordinaire !
C’est assez étrange de revoir les films et de voir sa propre évolution à l’écran. Le pire, c’est que mes amis peuvent très facilement se remémorer ma voix à l’origine, plutôt aiguë.
Ce que je fais le plus volontiers, c’est jouer au golf.
Un chose qu’on ignore à mon propos, c’est que j’adore regarder du sport avec ma grand-mère. elle en connaît plus à ce sujet que la plupart de mes amis !
Les fans de Harry Potter sont partout c’est génial !
James Phelps
Jouer Fred est un véritable plaisir.
Si je devais décrire Fred en 3 mot : drôle, intelligent et roux.
Mon premier jour de tournage était à Goathland, dans le Yorkshire. J’étais très tendu mais aussi impatient d’entamer cette expérience qui changerait ma vie.
Ma scène préférée que j’ai tourné était celle ou Fred et George mettent leur nom dans la coupe de feu. C’était tellement fun et cool de tourner cette scène. Il y avait de la comédie, de la cascade, un petite bagarre… que pourrait vouloir de plus un acteur en une scène ?
L’un de mes meilleurs souvenirs sur le plateau… Je faisais une lecture de Pierre et le Loup avec les Halle Orchestra, un week-end. Pendant la semaine qui précédait, j’apprenais le texte et Sir Michael Gambon (Dumbledore) m’a demandé ce que je préparais. J’ai expliqué et il m’a fait répété, parce qu’il l’avait déjà fait quelques années auparavant. C’était un grand moment pour moi.
Ce qui me manquera le plus, ce sont les gigantesques avant-premières et traîner avec mes amis durant le tournage.
Si les gens aiment les films de la série, c’est parce que tout le monde peu s’identifier à au moins un personnage dans chaque histoire.
Le gens devraient aller voir le dernier film parce que ça conclu tout, et les scènes de combat sont extraordinaires – elles figurent parmi les plus dantesque de l’histoire du cinéma.
Le premier film que j’ai vu était Les Muppets
Mon plat préféré est le poulet et salade de mangue.
Mon type de musique préféré, c’est tout type de rock, jazz et blues.
Si je pouvais jouer un personnage dans un autre film, ce serait un méchant dans un James Bond.
Un chose qu’on ignore à mon propos est que je peux jouer de la guitare dans mon dos.
Après les Harry Potter, je voudrais retrouver ma propre couleur de cheveux et incarner un personnage différent de Fred Weasley.
Daniel Radcliffe
Lors de son interview, Daniel Radcliffe (Harry Potter) parle du travail qu’il a effectué avant le tournage de The Woman in Black pour se glisser dans le rôle de ce père aimant qu’est Arthur Kipps, dont il faut également incarner la face plus sombre de veuf empli d’amertume.
Ce qui suit est la traduction des passages de l’interview de Empire Magazine sélectionnés par Snitchseeker.
« Déjà, j’ai un peu triché. J’ai fait auditionner mon neveu pour qu’il joue mon fils… et il était si bon qu’il a eut le rôle ! Je le connais depuis qu’il est bébé, et il y avait déjà un lien très fort entre nous. J’ai eu de la chance pour le coup.
Je pense que je suis bien tombé avec ce film comme premier rôle cinéma après Harry ; parce que c’est très différent, dans le sens que je joues un père et que le film est plus adulte, mais ce n’est pas différent au point de faire dire aux gens ‘il se débat un peu trop ; il veut juste nous choquer et qu’on pense qu’il a changé’. Je pense que j’ai privé pas mal de gens de cette possible critique.
Cependant, ça va rester le grand saut pour ceux qui m’ont vu porter un uniforme scolaire pendant dix années de me voir soudain interpréter le personnage d’un père de famille. Dans le script, il est écrit qu’Arthur a 27 ans, mais on triche un peu en le rabaissant à 24, parce que je ne peu pas passer pour plus âgé que ça, surtout avec le maquillage. C’était ce pourquoi j’étais le plus inquiet.
Je me demandais ‘Est-ce que je dois prendre une voix plus grave ?’, mais je pense que ma voix ne sera pas plus grave quand j’aurai 24 ans, ça n’avait donc aucun sens de la changer pour le film. Et le réalisateur, James Watkins, m’a très rapidement rassuré, en me signalant que si le public se mettait à réfléchir à ce détail, c’était que le film était un échec dans son intégralité. »
Daniel a rencontré une difficulté particulière sur le tournage : son habitude de respirer par la bouche. Il lui avait été demandé de ne respirer que par le nez lorsqu’il interprétait Arthur Kipps ; un détail qu’il ne cessait d’oublier, ce qui lui valu de nombreux commentaires et rappels sur son script ‘Ferme la bouche !‘
Intrigué par la raison pour laquelle son personnage reste dans le village où il débarque, ce qui lui semblait pure folie, il a finalement compris que la simple curiosité suffisait.
« James [Watkins] m’a expliqué : ‘il a perdu sa femme, il la cherche, et il tombe sur le fantôme d’une femme morte.’ Cette curiosité le retient, parce que la curiosité est un sentiment très puissant. Ça semble bien peu, comme ça, mais c’est ce qui nous rend humains. »
Pour préparer le rôle, présenter correctement la douleur, le chagrin et l’amertume de ce père, il a également lu plusieurs livres traitant du sujet du deuil. Certains parlent de sept étapes qu’il faut traverser, ce qui implique qu’après on est libéré ; mais son personnage ne s’en sort jamais.
Dans le livre Apprendre la Mort de C.S. Lewis, Daniel a souligné un passage : « Il compare le deuil à une marche dans une vallée où le paysage change sans cesse, mais il se répète également. C’est ce sentiment d’être coincé dans une spirale de chagrin et de vivre avec un fantôme. C’est ce qu’Arthur Kipps a fait pendant quatre année, vivre avec le spectre de sa femme.
Merci Snitchseeker
Nous préparons actuellement un article informatif plus détailles sur les projets post-Harry Potter des acteurs incluant des résumés des films/pièces de théâtres et les dates de sorties prévues.