Pour compléter notre dossier des références audiovisuelles à Harry Potter qui avait rencontré un franc succès, et à la demande générale, nous vous présentons aujourd’hui un dossier de références à Harry Potter dans les livres.
Réalisé avec l’aide de Kevin C. Cabanis et son blog littéraire Palace-of-book, mais aussi de nombreux lecteurs qui n’ont pas attendu de nous voir publier cet article pour nous envoyer leur(s) trouvaille(s) !
Cette liste a initialement été postée sur la page Facebook de la Gazette le 20 mai 2013. Elle est le produit d’un travail de recherche et de compilation collaboratif, principalement organisé par la page Palace-of-books afin d’aider la rédaction de La Gazette du Sorcier, puis complété par la Gazette du Sorcier.
Si vous voulez aider à compléter cette liste, envoyez un MP à la Gazette, ou un e-mail à redaction[at]gazette-du-sorcier.com, avec le titre de l’oeuvre, l’auteur, la page (si possible), ainsi qu’un résumé de la référence (voire même la citation).
Romans et Essais
Théâtre
Romans aux références incomplètes
Bandes dessinées et mangas
Magazines
De Lindsey Kelk. Trad. Cécile Tasson. Éditions Milady
Page 100 : « En dix ans, Il avait collectionné les filles plus rapidement qu’il n’avait lu la série Harry Potter. »
D’Erik L’Homme et Pierre Bottero. Éditions Gallimard Jeunesse & Rageot Editeur.
Page 17 : « Je soupire en pensant à Harry Potter. Quel bonheur si la magie était simple comme dans les livres ! Un coup de baguette magique, un ou deux mots en latin et hop, la réalité se plie à nos désirs. »
D’autres mentions probables dans les tomes suivants.
De Cat Clarke. Trad. Alexandra Maillard. Éditions Lafont
Page 58 : Alex essaye de faire comme si Kate et elle « n’était pas cernés de fan d’Harry Potter »
Page 113 : Alex compare un coquillage à une corne de licorne et explique que » les boutiques du Chemin de Traverse, c’est pas la porte à côté »
(Merci Lily Ramel)
De Mary Higgins Clarke et Alafair Burke. Trad. Anne Damour. Éditions Albin Michel
Page 266 : « À neuf heures, Léo éteignit la lumière dans la chambre de Timmy. Son petit-fils avait pris avec lui le volume trois de Harry Potter, mais comme Léo s’y attendait, il était si épuisé après cette longue journée exténuante qu’il s’était endormi dès la première page. »
(Merci Marine T.)
De Patricia Briggs. Trad. Eleonore Kempler. Éditions Milady
Page 173 :
« – Il ne semble pas, dit-elle lentement, que demeurer silencieux à leur sujet t’a aidé. (De quel genre de choses n’aimait-il pas parler ? Du mal, se rappela-t-elle.) Est-ce que c’est une histoire à la Harry Potter ?
Il tourna la tête à ces mots.
– Une quoi ?
– Une histoire à la Harry Potter, répéta-t-elle. Tu sais, ne prononcez pas le nom de Voldemort parce qu’on pourrait attirer son attention.
Il étudia la question.
– Tu parles du livre pour enfants.
– Il faut que je te fasse regarder plus de films, dit-elle. Ceux-là te plairaient. Oui, je parle du livre pour enfants. »
De L.E. Flynn. Éditions Imprint
Page 397 : Bridget est interviewée par Aria pour le livre de sa soeur et dit de la journaliste qu’elle « a l’air stupide avec ses lunettes de Harry Potter. »
De Alice Oseman. Trad. Anne Delcourt. Éditions Nathan
Evelyn et Becky discutent. Tori assiste à la conversation.
« – La vraie question, dit Evelyn, est de savoir s’il y a une tension sexuelle entre Harry et Drago.
Je ne suis pas sure que Becky apprécie réellement Evelyn. Je crois que les gens font seulement semblant de s’apprécier.
Evelyn rit.
A chaque mot, elle frappe dans ses mains. Ça n’aide pas vraiment à rendre crédible ce qu’elle raconte.
Evelyn parut profondément offensée.
Elle secoue lentement la tête.
Becky se tourne vers moi, et Evelyn fait de même. J’en déduis que je me dois de contribuer à la conversation d’une manière ou d’une autre.
De Mia Sheridan. Trad. Caroline de Hugo. Éditions Hugo Roman
Page 110 :
« – Harry Potter, hein ? C’est super. Tu sais pourquoi j’aime vraiment ce bouquin ?
Ses yeux ont cherché les miens, et il a fait non de la tête, sans quitter mon regard.
– Parce que ça parle d’un pauvre môme en qui personne ne croyait, qui avait un drôle de look, avec ses grosses lunettes, et qui vivait dans un cagibi, sous les escaliers, chez son oncle et sa tante. Mais tu sais quoi ? Il finit par réaliser des trucs vraiment dingues, alors que tout semblait être contre lui. C’est super de voir que quelqu’un que personne n’attend s’en sort comme un chef, tu ne trouves pas ? »
(Merci Lucie T.)
De Raphaëlle Giordano. Éditions Plon
Audrey et Basile fouillent le bric-à-brac de Lucien dans le but de trouver des déclencheurs sensoriels.
« Alors tu as découvert des choses intéressantes ?
Elle me montre une version anciennes du jeu de Mikado et une édition collector du tome I de Harry Potter.
-… comme tu as parlé de magie … » […]
« Et pourquoi Harry Potter ?
-… J’avais adoré, dans le livre, les dragées surprises de Bertie Crochue, et je me suis dit qu’on pourrait s’inspirer du principe en créant un système d’ambiances olfactives « surprises » !
De Michelle Rowen. Trad. Zeynep Diker. Éditions Milady
Page 143 : « Rien à voir avec les tours de passe-passe et autres disparitions intempestives mises au point par ce bon vieux Houdini. Pas d’abracadabra non plus ni de sorts à la Harry Potter. »
De Christina Lauren. Trad. Margaux Guyon. Éditions Hugo Roman
Page 128 : « Utiliser un Portoloin comme dans Harry Potter ? »
Page 145 : « Je croyais que tu prenais tout juste l’avion ? Tu as utilisé un Portoloin, ou quoi ? »
Page 143 : C. demande à un personnage quel est son film préféré, ce à quoi il répond : » Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban ».
De John Green.
Page 62-63 : John Green explique l’étymologie du mot « bear » en anglais ; il raconte que le terme vient du germanique « bero », qui signifie « le truc marron », et que de nombreux linguistes estiment que les mots utilisés pour désigner l’animal sont des substituts, et que le véritable terme était considéré tabou. John Green fait alors la comparaison avec le nom de Voldemort dans Harry Potter.
De Alessandro D’Avenia. Trad. Nathalie Bauer. Éditions Livre de Poche
Page 200 :
« Si j’étais allé au lycée ce jour-là, Leo, je ne serais pas aujourd’hui l’homme que je suis devenu. C’est un jour où j’ai séché les cours que j’ai reçu les réponses dont j’avais besoin. Un jour où pour la première fois, j’ai cherché ce que je voulais en courant le risque d’être puni…
– Il se peut que mon père se soit changé en Albus Dumbledore ou en Dr House. »
De Michael Grant. Trad. Julien Ramel. Éditions Gallimard Jeunesse
Page 362 : « Sa voix sonnait un peu comme Rupert Grint. Ou du moins, une version américaine de Ron Weasley ».
De Robert Muchamore. Éditions Casterman
Chapitre 1 :
Ryan Sharma, un espion, surveille Tracy Collings, une pilote d’avion dont l’appareil doit être détourné par un groupe terroriste. « La femme feuilletait un fascicule publicitaire joint à une édition du quotidien USA Today. « Offre spéciale Black Friday – TV Sony 102 cm $399, Air conditionné à partir de $800, Intégrale Harry Potter Blu-Ray $29.99. » »
(Merci Mederic)
De Malika Ferdjoukh. Éditions L’école des loisirs
Page 54 :
(Une tempête se déchaîne à Saint-Malo où a lieu l’aventure du roman)
« Hé! Venez voir ! s’exclame Nadget en se précipitant à la fenêtre. Les tuiles du toit font une partie de Quidditch en plein ciel ! »
(Merci Stéphane)
De Sylvie Baron. Éditions J’ai Lu
Page 79 :
Déconcerté par ces relations père-fils qui lui semblaient pour le moins abruptes, il n’avait [Adrien Darcy] pu s’empêcher de demander à Creuze quel était le livre en question. « – L’appel de la forêt, de Jack London. Un livre fondateur. Thomas réclamait les aventures d’Harry Potter, mais il peut se brosser ! Mon fils ne fera pas partie des lecteurs de cette saga bidon qui n’est rien d’autre qu’un produit marketing pour aboutir à une infantilisation dangereuse de la culture. »
(Merci Manu)
De Stephen King. Trad. Nadine Gassie, Éditions Albin Michel
Page 429 :
«- Donc tu me comprends. C’est bien. T’es encore un peu dans les vapes, je suppose, et tu vas le rester, parce que je t’aime mieux comme ça, ma petite. Mais si t’es une gentille petite fille, j’aurais pas besoin de te remettre KO. Tu piges ?
– Où on va ?
– Poudlard, Tournoi international de quidditch. Je te paierai un hot-dog sorcier et de la barbe-à-papa magique Réponds à ma question. Tu vas être une gentille petite fille ?
– Oui. »
Page 430 :
« – Boucle d’or ? Ma puce ?
– Quoi ? »
Elle cligna des yeux sans le voir.
« – Tais-toi et regarde le paysage.
– Poudlard, marmonna-t-elle. Barbe… à… papa. »
(Merci Sébastien)
De Steve Lyons. Trad. Pierre Pevel. Éditions Milady
Pages 54 – 55 : « La semaine dernière, il s’est passé un truc. Un script entier a fait surface. On en est pas sûrs, mais les experts disent que ça pourrait être du Shakespeare. Ce type a écrit les scénarios des plus grands films. Celui-là parle d’un gamin qui va dans une école de sorciers. »
De Alyson Noël. Trad. Maud Desurvire. Éditions Michel Lafon
Page 270 : Daire mentionne la cape d’invisibilité pour taquiner sa grand-mère.
De Jeaniene Frost. Trad. Frédéric Grut. Éditions Milady
Page 223 : « J’adore voir Rogue faire tourner Harry en bourrique. »
Page 224 : « Si le fantôme attaquait en plein milieu de la scène la plus palpitant de Harry Potter, Ian risquait d’être si fasciné par le film qu’il ne daignerait même pas se lever pour soigner les blessures mortelles que pourrait recevoir le médium. »
De Karen Marie Moning. Trad. Cécile Desthuilliers. Éditions J’ai lu
Page 53 : « En général, je suis affreusement déçue par les adaptations de romans au cinéma. Prenons, au hasard, la série des Harry Potter. Vous la voyiez ainsi, vous, Fleur Delacour ? »
De Kami Garcia & Margaret Stohl. Trad. Luc Rigoureau. Éditions Hachette
Page 132 : Mrs Lincoln a lancé une campagne d’interdiction contre Harry Potter après avoir surpris son fils et son ami en train de regarder les films. Pour elle Harry Potter prône la sorcellerie. Des noms très ressemblants à ceux de personnages de la saga du Survivant sont utilisés comme Abby Porter (Harry Potter) ou Lila Evers (Lily Evans).
De Jodi Taylor. Trad. Cindy Colin Kapen. Editions Hervé Chopin
Page 339 : L’héroïne, Max est une historienne qui fait partie d’une organisation qui voyage dans le temps. Dans ce tome, elle se rend dans le futur avec son fils.
« Deux officiers, une homme et une femme, sont venus garder Matthew. […] Ils avaient apporté de la pizza et étaient armés d’une boîte remplie de surprises. J’ai aperçu une sorte de puzzle en 3D, des hologrammes Harry Potter, des jouets pleins de lumières clignotantes et des objets vibrants. »
De Cassandra Clare. Trad. Julie Lafon. Éditions Pocket et Jeunesse
Page 517 :
Deux loups-garous occupaient une autre banquette. Ils mangeaient de l’agneau cru en essayant de déterminer qui, de Magnus Bane, ou de Dumbledore, le personnage des Harry Potter, l’emporterait dans un face à face.
– Dumbledore gagnerait haut la main, dit le premier. Son sortilège de mort, ce n’est pas de la gnognotte !
Le second loup-garou avança un argument irréfutable.
– Oui mais Dumbledore n’existe pas. »
De Dan Brown. Trad. Daniel Roche. Éditions JC Lattès
Chapitre 28, page 264 : » […] elle est répandue par le plus grand best-seller de tous les temps…
Ne me dites pas que le véritable sujet de Harry Potter, c’est la quête du Graal !
Je parlais de la Bible. »
(Merci Dimitri pour la référence exacte)
De Mia March. Trad. Marion Roman. Éditions Presses de la cité
Page 143 : « Pour Pauline, un roman récompensé de multiples prix littéraires, des mémoires, un guide du Machu Picchu et une édition reliée de la saga Harry Potter pour sa nièce de huit ans, ‘une enfant très précoce’. »
De Marion Montaigne. Editions Dargaud
Page 56 : « La NASA est à l’astronaute ce que Poudlard est à « Harry Potter »…Mythique!
De Ben Aaronovitch. Trad Benoît Domis. Éditions J’ai lu
Page 52 :
« – Alors la magie, ça existe, dis-je. Vous…vous êtes quoi au juste ?
– Un sorcier.
– Comme Harry Potter ?
Nightingale soupira.
– Non, pas comme Harry Potter.
– C’est quoi, la différence ?
– Je ne suis pas un personnage de fiction. »
De Ben Aaronovitch. Trad Benoît Domis. Éditions J’ai lu
Page 235 :
» – Comment tu t’y prends pour alimenter un sort avec une calculatrice ? demanda Caroline.
– C’est comme sacrifier un animal, répondis-je. Mais sans l’animal. »
Caroline était stupéfaite, notamment parce qu’elle ignorait l’existence de ce genre de rituel – ce qui, connaissant sa mère, n’aurait pas dû me surprendre.
» – Dix points pour Serdaigle, dit-elle.
– Ah bon ? Je me vois plutôt comme un Gryffondor.
– Tu peux toujours rêver. Serdaigle, je t’assure. »
(Merci Mureliane)
De Lauren Oliver. Trad. Alice Delarbre. Éditions Hachette
Page 230 :
« Le Visage d’Irma se déforme :
– Le S, c’est pour quoi ?
Mon cerveau hoquette.
– Euh… Severus.
Elle me regarde l’air interloqué.
– Comme dans Harry Potter ? »
De Lauren Weisberger. Trad Christine Barbaste. éditions Pocket
Tout un chapitre : L’héroïne doit se procurer avant tout le monde Harry Potter et les reliques de la mort pour les jumelles de sa patronne (cet épisode est repris dans le film adapté du livre).
De Agathe Roulot. Éditions Valentina
Page 14 : « […] Que ses rêves avaient quelque chose de prémonitoire ? _ Houlà… Arrête de lire Harry Potter, Sandy ! pensa-t-elle pour se rassurer. Tu n’es pas une sorcière ! On est dans la vraie vie, là. Aucune raison de s’alarmer […]. »
De Rainbow Rowell. Trad. Cédric Degottex. Éditions Castlemore
Page 165 : un ami de Cath déclare : « dire que Simon Snow aime Baz serait comme dire que Harry Potter est gay… ».
Page 454 : Cath appelle sa mère «Celle-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom».
(Merci Lucile.)
D’Hélène Lenoir. Éditions Sarbacane
Page 103 : Yacine dit qu’il a un « crush pour Rose. Pas un crush mignon comme celui que j’ai eu pour Hermione Granger, plutôt un mancrush admiratif et terrifié comme pour Liam Neeson dans Taken. »
Page 195 : Yacine explique » [le lieutenant Niko] m’a dit que oui, ça puait d’être un héros. Je comprends beaucoup mieux les états d’âme de Harry Potter maintenant. »
De Kacen Callender. Trad. Manu Causse. Éditions Slalom
Chapitre 2 page 22 :
« J’ai dit à mon père que je me sentais comme Harry Potter quand il dort dans le placard à balais sous l’escalier. »
Chapitre 4 page 50 :
« Mec, tu es tellement Serpentard… »
Chapitre 4 page 54 :
« – Felix, c’est un truc dans Harry Potter, non ?
[…]
– Oui, attends… C’est le nom de la potion que Ron croit avoir prise pour gagner au Quidditch. »
Chapitre 5 page 65 :
« – L’astrologie, c’est bidon, lâche Hazel – peau noire, cheveux violet, piercings et tatouages – c’est comme les maisons de Poudlard.
– Pardon, mais les maisons de Poudlard, c’est réel ! s’insurge Ezra. »
Chapitre 6 page 87 :
« – Désolé, répond-il en me tournant le dos, mais j’ai une conscience. Je n’ai pas le droit d’encourager tes travers de Serpentard. »
Chapitre 12 page 168 :
« Elle se montre toujours sympa avec moi, c’est le genre de personne toujours souriante et optimiste, ce qui ne matche pas super bien avec mon âme tourmentée de Serpentard. »
(Merci Alice Prince.)
De Polly Shulman. Trad. Cécile Moran. Éditions Albin Michel
Page 114 : « On le compare même au… comment s’appelle le machin après lequel tout le monde vole au quidditch ? Le Vif d’or ? »
De Chris Colfer. Trad. Yan Brailowsky. Éditions Michel Lafon
Page 172 :
« C’est cet orphelin qui ignore qu’il est un sorcier jusqu’à ce qu’un géant barbu l’emmène dans un lieu magique appelé…
– Poudlard ? »
De Shannon Messenger. Trad. Mathilde Tamae-Bouhon. Éditions Lumen
Page 311 : Sophie cherche une sorte de mot de passe et songe à « accio ». (Merci Marine A.)
De Michael Grant. Trad. Julie Lafon. Éditions Pocket Jeunesse
Chapitre 21, page 268 : “Laisse-moi deviner : en réalité, tu es un sorcier élevé par des Moldus.”
Chapitre 25, page 310 : “Lana n’avait pas à proprement parler jeté son dévolu sur un livre en particulier, n’ayant aucun Harry Potter sous la main”.
(Merci Dimitri pour la référence exacte)
De Rick Riordan. Trad. Mona de Pracontal et Nathalie Serval. Editions Albin Michel
Page 24 : Ana explique le fonctionnement de son école .
« Harding-Pencroft est un établissement scolaire qui couvre les cinq dernières années de secondaire. Nous sommes répartis en quatre maisons, en fonction de nos résultats aux tests d’aptitude. Nous appelons l’académie HP pour faire plus court. Et oui, on nous a déjà fait toutes les blagues autour de Harry Potter, mais merci quand même. »
De Rachel Hawkins. Trad. Raphaële Eschenbrenner. Éditions Albin Michel
Page 185 : « Gardien comme Hagrid, le demi-géant barbu de Poudlard? »
De Kevin Brooks. Trad. Sabine Boulogne. Éditions La Martinière
Avery Grambs vient d’hériter de la fortune d’un milliardaire et l’avocate en charge du testament la conduit au manoir qui est désormais le sien.
« – Bienvenue chez vous, Avery. »
Alisa s’avança dans le vestibule et pivota face à moi. Je restai paralysée un instant sur le seuil, bouche bée. Comme si je venais de pénétrer dans le palais de Buckingham ou à Poudlard et qu’on me disait que tout était à moi.
Merci Drearan
De Jennifer Lynn Barnes. Trad. Guillaume Fournier. Éditions Pocket Jeunesse
Page 38 :
» -Wouah, visez-moi la cicatrice, ajouta quelqu’un.
– Merde alors ! C’est Harry Potter, ma parole ! »
De Cate Tiernan. Trad. Blandine Longre. Éditions Hachette
Page 84 : « Ils m’ont dévisagée avec curiosité, puis se sont installés près des murs et ont ouvert des livres aux couvertures vieillies. Ça alors, ai-je pensé, me voilà à Poudlard. »
De Sophie Audouin-Mamikonian. Éditions Michel Lafon
Pages 161-162 : « Ah, ils commençaient à m’agacer avec leur histoire d’épée. Il y avait un moment, dans Harry Potter, où eux aussi couraient après une épée, et c’était l’un des moments du film où je m’étais le plus ennuyé. Interminable, leur quête ! »
De Rachel Bloom.
Page 73 : Dans la partie de son livre dédiée à sa passion pour le théâtre, Rachel Bloom explique qu’à chaque fois qu’elle découvre une création artistique qui se déroule dans un environnement scolaire (collège ou lycée), elle se demande à quoi ressemblent les fans de théâtre dans cet univers. Elle déclare alors : « et puisque j’adore la communauté de fanfictions Harry Potter, laissez moi vous présenter : Harry Potter et le club de théâtre de Poudlard ». S’en suit une fanfiction d’une dizaine de pages ; alors que Harry cherche à cacher le livre du Prince de sang-mêlé, il tombe sur une réunion du club de théâtre de Poudlard, encadré par le professeur Sinistra. Le choixpeau de casting, Liza Minellius, est en pleine audition. Il donne à Harry le rôle de Billy Bigelow, rôle principal de Carousel. Harry refuse cependant, et quitte la salle. 19 ans plus tard, alors que Harry se rend à Londres avec sa famille et tente de profiter de son statut d’élu pour obtenir des tickets pour Hamilton, il tombe sur le professeur Sinistra derrière le comptoir. Elle lui explique qu’après la mort de Dumbledore, le club de théâtre a été démantelé, et que si lui, Harry, avait accepté le rôle de Bigelow, le club aurait sans doute eu la reconnaissance dont il avait besoin, et aurait pu se maintenir à flots. Le professeur Sinistra refuse donc de lui donner des tickets, et la cicatrice de Harry le brûle pour la première fois en 19 ans. Ils n’ont pas d’autre choix que d’aller voir Mamma Mia à la place, et « tout n’était pas bien ».
Page 95 : Rachel Bloom établit une liste de vérités et règles qui régissent sa vie. La numéro 3 est : « Les acteurs des films Harry Potter ne sont PAS les vrais personnages. Ce sont des acteurs qui jouent le rôle des personnages des livres Harry Potter, qui eux sont réels et que je rencontrerai un jour. » Règle n°10 : « si votre langue maternelle est l’anglais et que vous mélangez sans cesse ‘they’re’ et « their », alors VOUS N’ÊTES PAS UN SERDAIGLE ».
Page 101 : Rachel Bloom parle de ses crises de panique et la décrit ainsi : « c’était comme si cette franchise cinématographique [sa vie] était complètement partie en cacahuètes, comme si Jafar avait couché avec les Casseurs Flotteurs, puis avait fait un plan à trois avec Voldemort, et que le bébé issu de cette relation était moi ».
Page 173 : Rachel Bloom raconte comment ont été reçues les chansons qu’elle a écrite pour la série Crazy Ex-girlfriend : « Et puis on a commencé à faire des concerts. (…) J’ai vu des milliers de personnes chanter en choeur mes paroles (…) et je me suis dit « Oh merde, je ne suis pas toute seule. Et lorsque j’ai rencontré ces fans par la suite, ce n’était pas juste des gens qui ressemblaient à mes amis, ils me ressemblaient. Ce n’était pas nécessairement des femmes à forte poitrine, petit torse portant un tee-shirt à l’effigie des Reliques de la Mort (même s’il y en avait tout de même un certain nombre).
De Pippa Wright. Trad. Sophie Pertus. Éditions France Loisirs
Page 299 : « Je prends place aussi loin que possible de Jemina, mais il n’y a pas moyen d’échapper à son regard glacial. Elle est comme les Détraqueurs, dans Harry Potter, qui se nourrissent de la chaleur, du bonheur et de la joie des autres êtres jusqu’à leur faire perdre l’envie de vivre. »
De Jim C. Hines. Éditions l’Atalante
Le personnage principal du roman a la capacité d’extraire des objets des livres qu’il lit. La saga Harry Potter et son auteur sont mentionnées à plusieurs reprises.
Page 93 : « Nous repérons et verrouillons généralement les ouvrages problématiques avant qu’ils n’atteignent le public. Même si Harry Potter nous a donné du fil à retordre. J. K. Rowling avait reçu la visite de Gutenberg en personne, venu lui demander d’éliminer son fichu retourneur de temps des volumes ultérieurs. »
Page 98 : référence non explicite à la cape d’invisibilité.
Page 183 : « Je pouvais bien entendu créer la baguette de Harry Potter, mais cela ne signifierait pas que je saurais m’en servir. Je m’étais quasiment ruiné le canal carpien à force de chercher à faire léviter une foutue plume. »
Page 230 : « Deux bibliomanciens avaient été sanctionnés pour avoir tenté d’obtenir en avance le nouveau Harry Potter. »
(Merci Lily P.)
De Patricia Briggs. Trad. Lorène Lenoir. Éditions Milady
Page 165 : « Il lisait un peu de tout, et pas seulement des livres pour enfants : Jurassic Park, Entretien avec un vampire et quelques œuvres de H.P. Lovecraft côtoyaient les Harry Potter et les tomes 1 à 15 du manga Naruto. »
De Jasper Fforde. Trad. Jean-François Merle. Éditions Fleuve Noir
Page 98 : « Elle n’était pas la seule (Dame de Shalott) à être transformée par l’image que s’en faisait les lecteurs. Miss Havisham était à présent une femme grisonnante, qu’elle le veuille ou non, Sherlock Holmes portait une casquette de chasse et fumait une pipe ridiculement grosse. Le problème ne se limitait pas aux classiques. Harry Potter était furieux de devoir passer le reste de son existence sous les traits de Daniel Radcliffe ».
De Lucile Caron-Boyer. Éditions Librinova
Pages 83-84 :
» – Tu ne peux pas dire ça Tom. Il y a des tas d’hommes roux qui sont considérés comme extrêmement séduisants.
– Comme qui ? »
Là, elle a hésité un peu trop longtemps pour qu’on ne le remarque pas. Moi qui commençais à y croire, j’ai senti le vent tourner. J’ai dit le premier nom qui me passait par la tête.
‘Ron’, dans Harry Potter ! »
Tom a affiché une moue dubitative.
« Il est considéré comme séduisant, lui ? »
Bon, d’accord, l’exemple n’était pas le mieux choisi.
« Mais si je me souviens bien, c’est lui qui a fini avec Hermione. »
Je m’enfonçais et je le sentais. «
Page 157 :
» – Tu peux être intimidante parfois.
– N’importe quoi !
Tom est intervenu en s’esclaffant :
– Tu dois être la seule à ne pas t’en rendre compte Marion. J’ai entendu dire que certains sixièmes t’avaient surnommée « le basilic ».
Sam a réprimé un éclat de rire, mais maman n’a pas compris la référence.
– Pourquoi ?
– C’est une créature dans Harry Potter, un serpent géant qui a le pouvoir de tuer ses victimes d’un simple regard.
J’ai râlé :
– Charmant !
Mais dans le fond, j’étais assez flattée. »
(Merci Aria M.)
De Michel Bussi. Éditions Les Presses de la Cité
Chapitre 44 : « Alexis n’avait rien pris, même pas une bière. Il avait une voix un peu sifflotante. On pouvait même d’abord la trouver charmante, presque agréable, avant que les zézaiements et les intonations trop aiguës ne deviennent insupportables. La première fois qu’elle l’avait rencontré, Amanda sortait même faire la réflexion que si les serpents parlaient, ils auraient la voix de d’Alexis. Pas le fourchelang des basilics d’Harry Potter, plutôt la langue qu’inventerait un serpent à sonnette devenu fou à force de ramper seul dans le désert. »
De Becky Albertalli. Trad Mathilde Tamae-Bouhon. Éditions Hachette
Page 9 : Leah compare Simon à Harry Potter lorsqu’il porte ses lunettes.
Page 10 : Simon parle « d’un rêve étrange avec Daniel Radcliffe ».
Page 15 : Référence aux fanfictions Drarry que lit Leah.
Page 24 : Simon se change dans le salon pour Halloween et se déguise en Détraqueur. Sa sœur lui demande ce que c’est
« – Norah, t’es plus ma sœur.
– Oh je vois encore Harry Potter. »
Page 36 : Pour la journée de l’androgynie, Abby arrive avec un costard, une cravate et une fausse barbe, que Simon compare à celle de Dumbledore.
(Merci Lily Ramel)
De Dee Shulman. Trad. Frédérique Fraisse. Éditions Robert Laffont
Page 45 : « Comme j’avais dévoré Harry Potter, je m’étais créé une image un peu fantaisiste des pensionnats. »
De Carina Rozenfeld. Éditions Robert Laffont
Page 405 : « Et ensemble nous formions le phenix. Comme pour soutenir ce concept délirant, je me souviens d’un détail que j’avais lu dans Harry Potter : Fumseck, le phénix du professeur Dumbledore, avait le pouvoir de guérir toutes les blessures grâce à ses larmes. »
De Victor Dixen. Éditions Robert Laffont
Page 341 :
» – Niveau littérature, je vous vois plutôt comme la sœur jumelle de Voldemort : méchante comme une teigne, vicieuse comme un serpent , la tronche ravalée à la truelle.
Harry Potter, ça oui, on l’a toutes lu, c’est un classique. La comparaison de Kelly est bien trouvée ! Encouragée par nos rires, elle renchérit aussitôt :
– Quand je vous vois, quand je vous entends, j’ai juste envie de crier : A dégager ! Expelliarmus !
A l’instant même où elle prononce la célèbre formule d’expulsion, un vrombissement retentit. »
(Merci Justine D.)
De Teresa Medeiros. Trad. Emmanuelle Ghez. Éditions Milady
Page 13 : « Malgré le piercing à l’arcade, l’effrayant serpent tatoué autour de son poignet et le badge la désignant comme ‘Natalie’ – et assurant aux clients de la librairie qu’elle était là pour les aider -, la fille avait l’air encore trop jeune pour lire Harry Potter. »
Page 63 : « Mon sweat taché de café et l’écharpe ornée de l’écusson de Poudlard de Hermione Granger. »
Page 256 : « Un gamin blafard et maigrelet avec des cicatrices d’acné, des lunettes Harry Potter et des cheveux blonds frisés… »
De Anthony Horowitz. Trad. Annick Le Goyat. Éditions Livre de poche jeunesse
Page 197 :
« – Donc vous ne croyez pas à la magie ?
– J’aime bien Harry Potter, comme tout le monde ; mais est-ce que j’y crois ? Non. »
De Jay Asher et Carolyn Mackler. Trad. Guillaume Fournier. Éditions Macadam
Page 32 : L’héroïne découvre son futur sur Facebook et découvre qu’elle sera fan d’une saga nommé Harry Potter.
De Alyson Noël. Trad. Maud Desurvire. Éditions Michel Lafon
Page 106 : « […] Daniel Radcliffe, par exemple, tu crois vraiment qu’il se déplace à califourchon sur son balai, dans la vrai vie? »
De Kerstin Gier. Trad. Nelly Lemaire. Éditions Milan
Page 88 : le personnage principal compare sa tête à celle de Bellatrix.
(Merci Marine A.)
De Sophie Kinsella. Trad. Daphné Bernard. Éditions Pocket
Page 146 :
« Et, récupérant cette excuse au vol, j’ajoute :
– En général, j’utilise le… Nimbus 2000.
– Vraiment ? Je croyais que c’était le nom du balai de Harry Potter.
– Raté ! Je savais bien que j’avais déjà entendu ce nom quelque part ! »
De Marie-Aude Murail. Éditions Ecole Des Loisirs
Page 83 :
Ella explique à Sauveur qu’elle a raconté l’intrigue du livre qu’elle était en train d’écrire à une fille de sa classe, et que celle-ci a répondu : »C’est super ! C’est mieux que Harry Potter! »
De Marie-Aude Murail. Éditions Ecole Des Loisirs
Page 57 :
Sauveur est en consultation avec Jean-Jacques. Jean-Jacques examine le bureau de Sauveur et s’en suit le dialogue suivant :
» Y a pas mal de bouquins.
– Vous aimez lire ?
– Moi !? C’était presque un cri offensé.
– Vous ne lisez jamais de romans ? Même quand vous étiez plus jeunes ? Harry Potter? »
De Gilles Versisch. Éditions J’ai Lu, version poche
Page 348 :
« Pison était tout à la fois le disciple et le patronus de Philodème.
– Patronus ? Comme dans Harry Potter ? intervint Phalène.
Page 354 :
Mais quand Cicéron appelle Philodème « le Grec », c’est un peu méprisant, non ? ai-je remarqué. On dirait presque « Celui-Dont-Il-Ne-Faut-Pas-Prononcer-Le-Nom ».
(Merci Mureliane)
De Lucinda Riley, traduit par Marie-Axelle de la Rochefoucauld. Éditions Librairie générale française
Page 522 : « Après avoir trouvé un costume d’Harry Potter pour Rory, j’achetai un chapeau et une cape de sorcière pour moi, et une tenue de magicien pour Orlando.
Page 525 : « Nous descendîmes l’escalier pour montrer le costume de Rory à Orlando, qui était déjà à la cuisine avec cape, chapeau et longue barbe blanche. Il aurait facilement pu envisager une nouvelle carrière en tant que doublure de Dumbledore. »
Page 527 : « Après le dessert, je sortis le DVD du premier film d’Harry Potter que j’avais acheté en ville.
– Ça vous dit de le regarder ? Demandai-je à tous les trois.
– Pas Superman ? Demanda Rory, une pointe de déception dans la voix.
– Non, mais je pense que ça va te plaire, l’encourageai-je. Tu veux bien le mettre, Dumbledore?
– Avec plaisir. Cela fait un an que j’essaie de persuader Rory de ma laisser lui lire les livres. Viens, Harry, je vais te conduire à Poudlard et à toutes ses merveilles, s’exclama Orlando en se levant et en agitant sa baguette magique. »
(Merci Marine)
De Gayle Forman. Trad. Marie-France Girod. Éditions Oh !
Chapitre “21h06”, page 125 :
« Quand il a commencé à s’intéresser à Harry Potter, moi seule avais le droit de lui lire un chapitre le soir au coucher. »
Chapitre “22h40”, page 129 :
« A quoi cela va-t-il ressembler de me réveiller orpheline ? De ne plus sentir la fumée de la pipe de papa ? […] De ne plus jamais lire un chapitre de Harry Potter à Teddy ? »
(Merci Dimitri pour les références exactes)
De Alex Sarrow. Trad. Anne Lauricella. Éditions Nathan Jeunesse
Pages multiples : La saga Harry Potter joue un rôle clé dans l’intrigue du livre. Pour éviter de spoiler, nous ne mentionnerons que le fait qu’une personne se voit révéler le titre du dernier Harry Potter avant sa sortie (voyage dans le temps oblige) et s’exclame que sa fille donnerait sans doute beaucoup pour savoir ça.
De John Green. Trad. Catherine Gibert. Éditions Gallimard Jeunesse
Page 137 : en consultant les guides des universités américaines et constatant que certaines coûtes plusieurs centaines de milliers de dollars par an, Aza se demande si les étudiants vivent dans un château et sont servis par des elfes de maisons pour ce prix là.
Page 165 : Aza suggère que formuler certaines pensées pourrait être dangereux, comme de prononcer le nom de Voldemort.
De Ari. Webtoon
Chapitre 8 : Dans un flash-back, le meilleur ami de l’héroïne lui offre un livre « Harry Father ». On y voit une un livre qui parodie le Prisonnier d’Azkaban, Buck, mais étant chevauché par un vieux Harry Potter.
De Maëlle Desard. Éditions Rageot
Page 134 : « Quand les goules découvriront le pot aux roses, leur vengeance serait terrible. Comment diable m’étais-je fourrée dans cette situation ? Une sorcière de catégorie deux, une fichue Cracmol incapable de mettre les pieds à Poudlard qui se retrouvait à incarner le rôle d’une goule toute-puissante, inspirant des mouvements révolutionnaires ? »
(Merci Alice Prince)
De Uru-Chan. Webtoon
Épisode 234 : John est de retour à l’école. Isen et Blyke sont au téléphone et Isen croise John et ce cache.
Isen : Oh Merde… Oh, oh. Il est revenu…
Blyke : Qui ça ?
Isen : Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom.
De George R. R. Martin. Trad. Jean Sola. Éditions Pygmalion
« Ser Robin Le Pottier est l’un des chevaliers de l’armée du roi Renly Baratheon à Hautjardin. Il y participe aux paris sur la perte de la virginité de lady Brienne de Torth avant qu’ils ne soient interrompus par lord Randyll Tarly. Il prend ensuite part à la mêlée de Pont-l’Amer, lors de laquelle il est blessé par Brienne qui lui laisse une cicatrice en souvenir » (Merci à la Garde de Nuit !)
De Chloe Neill. Trad. Aurélie Tronchet. Éditions Milady.
Page 132 : La vérité, Merit, c’est que, pour la première fois dans l’histoire moderne, le surnaturel se révèle, et cela arrive après Harry Potter. Après l’époque du Seigneur des Anneaux. Les humains sont plus à l’aise avec les créatures et les événements surnaturels qu’ils l’étaient à l’époque où on brûlait les sorcières et les vampires.
Page 183 :
— Eh bien, tu sais bien, je pensais que ce serait un vieux monsieur grisonnant, avec une longue barbe blanche et une robe miteuse, sympathique et intelligent mais un peu professoral et distrait.
Je réprimai un sourire.
— J’ai dit « sorcier », pas « Dumbledore ». C’est vrai qu’il est sexy. Ne te plains pas, ça pourrait être pire. Tu aurais pu avoir affaire à un vampire prétentieux, vieux de plusieurs siècles et qui a décidé que tu es sa dernière idée fixe.
Page 232 :
Ce n’était pas difficile à deviner : se montrer au grand jour nous mettait à la portée des humains et mettait en danger notre survie, même à l’époque d’Harry Potter, comme disait mon grand-père.
De Chloe Neill. Trad. Aurélie Tronchet. Éditions Milady.
Page 245 : Ce qui avait été autrefois une minuscule cuisine était devenu… Eh bien, je ne savais pas trop comment décrire ce que j’avais sous les yeux. La salle des potions de Poudlard peut-être ?
[…]
-C’est quoi tout ça ?
-De quoi faire mes devoirs, gromella-t-elle.
-Oh! Mon dieu ! C’est vraiment Poudlard, ici !
De Chloe Neill. Trad. Aurélie Tronchet. Éditions Milady.
Pages 104-105 : Mallory a appelé Merit pour qu’elles se rejoignent dans un resto-route miteux en pleine nuit. Elle n’arrive plus à tenir la pression de ses cours de magie condensé :
-Il y a quatre autre divisions mais toutes appartiennent à la magie noire.
-Explique-moi, je ne comprends pas tout, l’encourageai-je avec douceur. De quel genre de magie noire s’agit-il ? Du style méchante sorcière de l’ouest du pays d’Oz, ou plutôt Serpentard ?
Page 394 : Merit : « -Oh mon dieu, mais tu es Harry Potter, en fait ! »
Merci Cassiopeia !
De V. E. Schwab. Trad. Sarah Dali. Éditions Lumen Eds.
Les protagonistes choisissent leurs costumes d’Halloween.
– Annonce les costumes ! lance Béa.
Robbie prend la pose sur le canapé et déclare :
– Ziggy Stardust
Bea annonce qu’elle se déguisera en Roberts, le terrible pirate de Princess Bride.
– Et toi ? Lui demande-t-il.
Moi, je suis déjà déguisé, répond-il en désignant son incontournable jean noir et sa chemise cintrée. Je vous laisse deviner…
– Peter Parker ?
– Un libraire ?
– Harry Potter en pleine crise de la vingtaine ?
Henry secoue la tête en riant. Le regard de Béa se fait soupçonneux.
– Tu n’as pas encore choisi, c’est ça ?
– Non, admet-il. Mais je vais bientôt me décider.
Merci à Faylis et Drearan !
De Reni Eddo-Lodge. Bloomsbury Publishing PLC
Pages 89 à 93 : L’autrice parle du problème de la représentation dans la fiction et donne l’exemple de Hermione noire dans Harry Potter and the Cursed Child et les polémiques qui ont suivi.
De Fabien Olicard. Éditions First
Page 38 : « Nous courons tous après lui [le temps]… mais pourquoi ? Principalement pour « avoir le temps de tout faire » ou pour « pouvoir prendre du temps ». Mais à l’inverse du sablier d’Horace Slughorn dans Harry Potter, il s’écoule plus vite quand notre intérêt est stimule et plus lentement lorsque que la tâche est rébarbative. »
Merci à Pauline !
De Eoin Colfer. Trad. Jean-François Ménard. Éditions Gallimard Jeunesse
Page 124 : « Et Dieu bénisse Harry Potter, c’est tout ce que j’ai à dire. Sans lui, Londres aurait été ravagée par les forces du mal. »
De R.J. Palacio. Trad. Juliette LÊ. Éditions Pocket Jeunesse
Page 22 : « Quand je lui ai appris que tu as lu Harry Potter à l’âge de six ans, il était sidéré… »
Page 99 : « En classe, on a tous parlé de nos déguisement. Charlotte serait Hermione de Harry Potter… »
De David Walliams. Éditions HarperCollins
Page 51 : Belinda Brag dit de sa fille qu’elle a traduit « tous les Harry Potter en chinois, puis les a retraduit en anglais. »
De Jesse Petersen. Trad. Pierre Pevel. Éditions Milady
Page 133 :
« – Attends. Est-ce que tu suggères qu’on passe la nuit dans le Mystérieux Laboratoire du Professeur Bizarro ?
Je souris.
– On dirait le titre d’un Harry Potter. »
D’Alexis Michalik, Editions Albin Michel
William demande à Jeanne quel type de roman elle apprécie, en prenant pour exemple Harry Potter.
(《 William : Mais… des romans, genre Harry Potter, ou… ? Jeanne : Ouais, j’aime bien aussi.》)
Jeanne cite également J. K. Rowling lorsque son oncle lui demande de citer des autrices.
(《William : […] Cite-moi trois autres auteurs, mais des femmes ? Jeanne : Agatha Christie, Charlotte Brontë, et du coup J.K. Rowling mais je l’ai déjà dit, alors Margaret Mitchell. 》)
(Merci Alas – Sébastien.)
De Shannon Lee Alexander. Trad. Noémie Saint Gal. Éditions Pocket Jeunesse
Page non référencée : « Il parle du nouveau prof de littérature. À Brighton, ils défilent comme les profs de Défense contre les forces du mal à Poudlard. »
(Merci Aria K.)
De Anne Percin, éditions du Rouergue
Page non référencée : « Au fond du hall d’entrée, une porte donne sur le jardin. Juste avant, sous l’escalier, se trouve une petite pièce sans fenêtre au plafond en pente, que j’ai toujours appelée la chambre d’Harry. »
De Jana Oliver, Trad. Nenad Savic. Éditions Castelmore
Page non référencée : le personnage principal est fan de Harry Potter. (Merci Géraldine.)
De Margaret Atwood, Trad. Michèle Albaret-Maatsch. Éditions Robert Laffont
Page non référencée :
« – Qu’est ce qu’il y a dans ce sac ? Z’avez joué au trappeur, monsieur Duc ?
– Ce n’est que mon costume, répond Felix. Ma tenue magique. Mon bâton magique.
– Comme dans Harry Potter, remarque Dylan. Cool. »
De Angie Thomas. Trad. Nathalie Bru. Editions Nathan
L’héroïne du livre, Starr, est une grande fan et cite plusieurs fois la saga. (Merci Miranda)
De Marie Desplechi. Éditions École des loisirs
Page non référencée : « Tous les gnomes de la planète comptent leurs sous. Le plus grand sorcier de tous les temps va passer pour sa quête annuelle. J’ai nommé Harry Potter, le type qui transforme le papier en or massif. […] ».
De Becky Albertalli. Trad. Mathilde Tamae-Bouhon. Éditions Hachette Jeunesse
Page non référencée : « Harry Potter et Drago Malefoy qui s’envoyaient en l’air d’un millier de façons différentes dans tous les placards à balais de Poudlard. Je choisissais les mieux rédigés et passais des nuits entières à lire. Drôle de période. »
(Merci Lucie T.)
De Mary Janice Davidson. Trad. Cécile Tasson. Éditions Milady
Page non référencée : « L’interne qui s’occupait de moi sentait la coriandre et n’arrêtait pas de fredonner le thème d’Harry Potter et la Chambre des secrets. »
De Romain Puertolas. Éditions Le Dilettante
Page non référencée :
» – Bref, l’Etat islamique brûle tous les livres qui, à ses yeux, représentent la culture occidentale. Le dernier Harry Potter, par exemple.
– Harry Potter ?
– Oui, bon, le dernier n’est franchement pas terrible mais de là à le brûler… (Merci Rebecca M.)
De Romain Puertolas. Trad. Yves Sarda et Marie de Prémonville. Éditions J’ai Lu
Page non référencée : Les loups se battent avec des vifs d’or venant d’un univers parallèle.
(Merci Janathan P.)
De Rebecca Makkai. Trad. Samuel Todd. Éditions Gallimard
Page(s) et extrait(s) non référencés
De Nathalie Le Gendre. Éditions Flammarion
Page(s) et extrait(s) non référencés
De Pauline Alphen. Éditions Hachette
Page(s) et extrait(s) non référencés
De Alan Bennett. Trad. Pierre Ménard. Éditions Denoël
Page(s) et extrait(s) non référencés
De Takeshi Obata & Tsugumi Ohba. Éditions Kana
Tome 4, Page 103 : « Zut…cette Kô Aoki fait mieux que ce que je croyais… C’est aussi bien monté qu’un Harry Potter… »
De Guy Delisle. Éditions Delcourt
Page non référencée : à propos de Aung San Suu Kyi ; « En fait, les birmans ne prononcent pas son nom. Ils préfèrent l’appeler plus simplement « la dame ». C’est comme pour Voldemort dans Harry Potter qu’on ne nomme jamais. »
De Védécé. Éditions Hachette Comics
Page 29 : Védécé et Max passent un oral de médecine légal. Max met au défi Védécé de caser un mot défini lors de son oral, « Stéphanie de Monaco ». Quant à Max, il devra caser « Harry Potter ». Max sera recalé à son examen pour l’emploi de ce mot.
De Védécé. Éditions Hachette Comics
Page 68 : Védécé représente la répartition des spécialités pour les nouveaux internes comme une cérémonie de répartition à Poudlard. Posé sur la tête d’un interne, le choixpeau crie « Chirurgie ! ».
Ce dessin est également présent sur sa page Facebook.
De Lou Lubie. Éditions Delcourt
Page 114 : Présentation des différents types de contes et les genres de l’imaginaire. La « fantasy » est illustrée par une scène où Hagrid apprend à Harry qu’il est un sorcier, ce dernier répondant, apeuré « QUOIII!? »
Page 218 : L’autrice évoqué les contes écrits par de nouveaux auteurs, et cite notamment les contes de Beedle le Barde en en reproduisant la couverture. (Merci Naria)
De Guy Delisle. Éditions Delcourt
C’est le temps de l’histoire du soir. Le père lit « Harry Potter » à Alice, sa petite fille.
– « Harry Potter, muni de la cape d’invisibilité, avançait dans les couloirs sombres du pensionnat de Poudlard…»
– Oh là là !
– « Avançait », ça fait partie de quel groupe de verbe ?
– Quoi ?
– « Harry Potter avançait », c’est le verbe avancer. C’est le premier, le deuxième ou le troisième groupe ?
– C’est dans le livre, ça ? Pff ! C’est pas rigolo ! Après je comprends plus ce qui se passe.
– Oui, mais lundi tu as un contrôle et la dernière fois, c’était pas fameux.
– Oui mais là, j’ai déjà fait tous mes devoirs.
– Bon…bon…il reste plus que quelques pages, on continue ou on reprend demain soir ?
– On continue.
– Voyons voir…Donc : « Harry avançait », premier groupe, « dans les couloirs de Poudlard… »
– « Soudain, Quirrel enlève son turban et l’ignoble créature se met à parler d’une voie suraiguë. Pour la première fois, Harry se retrouve devant celui-dont-on-ne-doit pas-prononcer-le-nom »
– Voldemort !
– Chut ! Malheureuse, il ne faut pas prononcer son nom à voix haute !
– Ah oui, c’est vrai ! Oups !
– « Harry Potter, j’ai utilisé toutes les forces en mon pouvoir pour prendre forme humaine, je suis venu te dire que… »
– Il va le tuer ?!
– Alice, voyons, tu veux vraiment que je te dise si Harry Potter va mourir avant la fin de l’histoire ?
– Pourquoi, il va mourir ?!
– C’est pas ce que j’ai dit. Sois patiente il ne reste que quelques pages.
– Continue !
– « Harry est comme figé sur place, il n’arrive plus à bouger. Voldemort s’approche de lui. Ses yeux sont injectés de sang et sa bouche est déformées par la haine. Il lui dit…Harry, savais-tu que comme finir, obéir et réussir, les verbes du deuxième groupe se terminent tous par ir ? »
(Merci à Stephane Basset)
De Guy Delisle. Éditions Delcourt
4e de couverture de la BD.
De Haruichi Furudate. Éditions Shūeisha
Fin du tome 18, affiche du 1er film avec les personnage de Haikyuu et page bonus des personnages qui en parle. (Merci Nijirafe)
De Alice Oseman. Éditions Hachette Romans
Nick avoue à Charlie s’être battu avec Harry.
Charlie : J’ai beau détester te voir blessé, Harry méritait VRAIMENT un bon coup de la face.
Nick : Ha ha ha ! T’es TELLEMENT Serpentard !
Charlie : Et toi t’es 100% Gryffondor.
À la fin de la BD, on peut retrouver des « cartes d’identité » des personnages sur lesquelles sont indiquées la maison a Poudlard de chacun.e d’entre elleux.
De Erwan Le Breton. Éditions Soleil
Page 54 : allusion à Harry Potter et la chambre des secrets.
De Lang et Poinsot. Éditions Clair de Lune
Tome 4, page non référencée : les aventuriers rencontrent Harry et rien de ce qui suit n’est bon pour le Survivant.
De Alan Moore et Kevin O’Neill. Éditions USA
Tome 3 (Century 2009), pages multiples : Harry Potter est l’Antéchrist. Une scène de massacre dans une école magique, référence aux tueries américaines, a lieu dans un décor ressemblant à Poudlard. Le symbole de l’éclair est souvent repris et des références sont faites à Tom Riddle (Jedusor) et au Poudlard Express.
De Julien Neel. Éditions Glénat
Tome 3 : Emma, la mère de Lou, publie son roman « baroudeuse du cosmos », et multiplie les références à J.K. Rowling, notamment en essayant de repousser l’échéance de son loyer ou lorsqu’elle se fait expulser de la librairie où elle fête la sortie de son livre. Merci Cassiopeia.
De Fournier, Cardona et Torta, éditions Soleil
Tome 1 :
Page 4, une des tombes porte l’inscription « Riddle » en référence au nom de famille de Tom Jedusor en anglais.
Page non référencée : Gaea négocie l’achat d’un retourneur de temps. (Merci Christelle La Fort)
Page 10, Gaea essaye d’acheter un retourneur de temps dans la forge d’Ardacos.
Tome 3 :
Page 18, on y voit le personnage de Mme McGoniania en référence au professeur McGonagall.
Page 27, lors du tournoi d’Olydri, Harry Potter est présent dans la file d’attente des inscriptions. (Merci Christelle La Fort)
Tome 13 :
Page 7, on voit une figurine de Harry Potter sur l’étagère de Max Middle.
De Dubuc et Delaf. Éditions Dupuis
Tome 1 : Jenny et Vicky font monter les enchères auprès des garçons du lycée pour savoir qui aura l’honneur de les inviter à Noël. Sauf que c’est Murphy « le dépressif » qui remporte la victoire en leur offrant des places de concert sold out. Pour se dédouaner, elles cherchent à la bibliothèque « la formule pour disparaitre » dans un tome de Harry Potter.
De Eiichirō Oda, Trad Sylvain Chollet. Éditions Glénat
Tome non référencé, page non référencée : le ‘samouraï’ veut se tuer mais dit qu’il n’y arrive pas, sans doute à cause du sacrifice de sa défunte mère. (Merci Martin)
De KIRI. Éditions Webtoon
Un grand tissus représentant les reliques de la mort est accroché au dessus du lit du personnage principal.
(Merci Cassiopeia)
De Zep. Éditions Glénat
Page non référencée : Titeuf imagine, le temps d’une planche, ce qui se passerait s’il étudiait à Poudlard.
De TAE Soyoung , LEE Seohee. Webtoon
Episode 2 : Eunmyeong fait la rencontre de Joonyeong, qui veut la chasser de son appartement. La jeune femme cite le nom de Voldemort, et l’expression « Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom ». (Merci Cassiopeia)
D’Arthur de Pins, éditions Dupuis
Tome 2 : Gretchen raconte ses études de sorcière.
(Merci Mariko et Alendyl)
De Josh Edelglass
Trois séries de strip basées sur Le Prince de Sang-Mêlé, Les Reliques de la Mort – Part1 et Les Reliques de la Mort – Part2 projettent un jeune garçon et son robot au cœur des films pour une parodie de la saga.
Hors-Série n°14, Spécial Trouille, octobre 2021 – Editions Bayard
Merci aux personnes et pages qui ont contribué à la création de cette liste : Lire une passion, MedievalFairy Creation, Le monde des livres, Iluze, Claire, De Book à oreille, Mon repaire littéraire, Élixir de livres, Siham, Bouquinons, Stéphanie, Risaa, Elisabeth, Jonathan, Karine, Virginia87, Haendel, Ollie, Marion JB, Mypianocanta, Kitomy, Thalyssa, Alexis, Bibliothecula, Catherine, Laetitia, Kim, Bouquinons, Pauline, Chloé, Cœur de libraire, Ennairod, Welden, Lau1307, Editions Macadam, Lily Luna, Jeni Kat, Jehanne…