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Les Animaux fantastiques : les secrets de Dumbledore – l’avis de la rédac’ ! (critique avec spoilers)

Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore sort en salle ce 13 avril en France !
L’équipe de la Gazette a pu le découvrir en avant-première, et nous vous proposons donc aujourd’hui une critique complète, avec spoilers !
Les avis divergent au sein de la rédaction ; n’hésitez pas à nous dire en commentaires ce que vous avez pensé du film !

Vous pouvez également découvrir notre critique sans spoiler ICI.

L’intrigue

Globalement j’ai été bien emballée par l’intrigue, mais certains aspects ne sont pas hyper clairs à mes yeux. La tenue des élections, la filiation de Credence, etc. Moon

Par rapport aux Crimes de Grindelwald, on est clairement revenu à quelque chose de plus simple, et ça marche mieux au premier visionnage. J’attends de revoir le film plusieurs fois pour vraiment me faire un avis sur le plan de Dumbledore “d’embrouiller” les visions de Grindelwald, j’ai quand même l’impression qu’il nous manque un peu d’exposition, qui aurait rendu les choses plus efficaces. Le tout reste tout de même rythmé, sans temps mort, et fun à suivre. Marjolaine

L’intrigue de ce film est beaucoup plus claire que les précédents films, il est facile de le résumer : Norbert, Dumbledore et leurs alliés vont tenter de stopper Grindelwald de se présenter aux élections et être élu président du congrès. C’est la seule chose claire de ce volet. Congrès de quoi ? Quelle est l’importance de ce congrès ? A quel point Grindelwald serait puissant s’il était élu ? Pourquoi veut-il se présenter et ne pas faire un coup d’état ? Arrêter de tuer pour devenir politicien et laisser les autres faire le sale boulot ? On n’en sait rien, tant ce congrès est tombé de nulle part ainsi que la soudaine envie de Grindelwald de s’y faire élire (et sa stratégie tout court à ce monsieur… où est-elle ?) Quelle est la stratégie adoptée par Norbert et ses alliés – qui, dès le début du film savaient on ne sait comment que Grindelwald allait se présenter ? Agir au hasard afin de confusionner Grindelwald qui sait voir l’avenir. Super ! Je m’attendais à avoir un développement à la Inception, avec de nombreux rouages afin de déjouer la stratégie de Grindelwald, voir Grindelwald mis au défi par l’intelligence de Dumbledore et jubiler quand ces deux grands sorciers allaient nous prouver qu’ils sont bien les prodiges que l’on nous avait promis… Est-ce que ça marche ? Est-ce que Grindelwald est confus ? Avons-nous affaire à un jeu d’échecs de la vraie vie des sorciers ? Point du tout, puisqu’on voit Grindelwald réfléchir, en silence, impassible, et faire son bout de chemin, sans qu’on y comprenne rien. Est-ce qu’il a l’air de s’intéresser seulement à ses ennemis ? A quoi cela sert-il de nous faire peur en nous annonçant que Grindelwald peut voir l’avenir, si à aucun moment cet élément crucial ne fait obstacle à nos héros ? La seule fois où cette capacité l’a aidé, c’était pour voir – c’est un comble – que ses ennemis avaient une longueur d’avance en ayant un autre Quilin. Et au lieu de regarder l’avenir pour comprendre la stratégie de ses ennemis, il envoie Croyance, un sorcier novice qui casse tout sur son passage, pour le récupérer. Grindelwald devrait pourtant être, au contraire de Voldemort, le premier à accorder plus d’importance à l’intelligence de Dumbledore, qu’à sa puissance magique. Il aurait vu tout de suite que c’est un personnage secondaire qui a depuis le début la bonne valise avec le Quilin (oui parce que la stratégie d’agir au hasard était un leurre… et ouais… en fait y’avait aucun hasard, du coup, si Grindelwald avait seulement cherché à espionner ses ennemis, il aurait tout su… c’est bête que Grindelwald ne s’intéresse pas aux personnages secondaires). Pour résumer, une intrigue enfin claire, simplifiée, plus efficace, mais qui manque cruellement de lien, de sens et de précision. Fantine

Sur le principe, j’ai été très emballée par l’intrigue. Elle est ancrée dans un contexte politique international vraiment intéressant et qui méritait d’être développé. Dans les faits, je la trouve parfois un peu expéditive et pas toujours exploitée autant qu’elle aurait dû. Certains éléments sont amenés puis… un peu abandonnés. Grindelwald peut lire l’avenir mais au final, cela n’a pas énormément d’impact sur l’intrigue. Dumbledore décide de l’embrouiller mais à part un mic-mac de valises et un espion pas très discret, on n’en voit pas grand chose. Donc une intrigue claire et efficace dans l’ensemble mais qui aurait pu être exploitée davantage ! Rowenaz 

Ayant été un peu déçue par le second film, je n’osais espérer beaucoup du troisième. Pourtant, j’ai été agréablement surprise et n’ai pas vu les minutes défiler. Le film est bien rythmé, intéressant car il développe correctement certains personnages, un peu moins d’autres. Je reprochais au second volet la place qui avait été donnée aux créatures, sur celui-ci c’était parfait à mon sens. Les animaux fantastiques ont une place essentielle dans l’intrigue (bien que je n’en ai jamais assez !) en particulier avec le Quilin, que je trouve absolument touchant et qui apporte du merveilleux au monde pourtant déjà surprenant de la magie ! La relation Grindelwald/Dumbledore est bien dosée, on sent que certaines choses sont mises en place pour la suite et que la construction de l’intrigue est plus proche de celle des Harry Potter (avec des éléments distillés tout au long de l’histoire). Des regrets cependant sur le fait que certains détails soient passés sous silence, comme si le spectateur devait le savoir en ayant une connaissance encyclopédique du Wizarding World. Par manque de temps, des personnes sont un peu délaissées, des intrigues moins travaillées. En bref, j’ai été conquise mais ne l’ai vu qu’une seule fois, il est certain que mon avis sera plus nuancé après un second visionnage !  Naria

Payer un scénariste de métier pour aider à construire et structurer le scénario, ça marche ! J’ai passé un bon moment lors de la découverte du film. Rythmé, proposant un savant mélange d’humour, d’action et de magie, tout en développant de nouveaux personnages secondaires intéressants et des aspects du monde magique encore jamais abordés. Ce n’est qu’a posteriori, en y réfléchissant et en discutant, que ses défauts me sont apparus plus clairement. Si le film est plus clair à suivre et comprendre que Les Crimes de Grindelwald, il n’en reste pas moins que l’histoire et son déroulé tombent vite dans des facilités et des détours peu intéressants. Les Secrets de Dumbledore propose un excellent fan-service, qui cache la forêt d’une saga qui ne sait pas quelle histoire elle souhaite raconter : celle de Norbert écrivant son livre et poursuivant des créatures comme son amour pour Tina ? Celle de l’histoire du monde magique et du combat entre Gellert et Albus ? Celle de Croyance et sa recherche de ses origines ? Le film nous embrouille comme les héros cherchent à embrouiller Grindelwald, et si cela fonctionne un temps, le sort finit vite par se dissiper et une question demeure : où veut aller la saga des Animaux Fantastiques ? Bdragon

La découverte du monde magique

Si le Bhoutan est très joliment mis en scène et présenté (ce pont-transplaneur m’a beaucoup intrigué), la saga Animaux Fantastiques ne sait toujours pas mettre en avant correctement son monde magique. J’avais déjà été déçu du Paris des Crimes de Grindelwald, et l’ai été encore plus par le Berlin magique, réduit à l’entrée et l’intérieur de son ministère de la magie. Le travail colossal réalisé par MinaLima pour donner vie et corps à l’univers n’est pas respecté, n’apparaissant que très peu dans le montage final. De plus, tout étant tourné aux Studios de Leavesden, toutes les rues extérieures présentées ont la même largeur, qu’il s’agisse de New York, Paris ou Berlin, ce qui fait perdre son charme et intérêt à chaque décor et destination. Bdragon

Le Pacte de Sang

Quel gâchis ! Du début à la fin, cet artifice pour expliquer l’absence de duel entre Dumbledore et Grindelwald aura été un échec. D’abord par son fonctionnement, les chaînes à la “Chevalier du Zodiaque” qui serrent Albus quand il pense simplement à affronter son rival ; c’est étrange que Grindelwald qui a si souvent poussé Credence à tuer son rival, et y songe régulièrement, n’ait jamais subi de douleurs… Et que dire de son dénouement presque pitoyable ; soudainement le Pacte se brise au premier sort lancé entre les deux… Avec quelle justification ? Une histoire de sort offensif et défensif tiré par les cheveux. Une explication toute autre était pourtant toute trouvée ; en visant Credence, Grindelwald attaquait un Dumbledore, une personne dont le sang qui coule dans les veines est le même que celui d’Albus, le même que celui du Pacte. Cette violation du Pacte, et la défense d’Albus, finissent par briser cette alliance magique. Et ça serait bien mieux passé. Mais on sent assez vite que les scénaristes ont juste cherché à tout prix un moyen d’avancer sur cette intrigue pour raccourcir l’histoire finale. Guizmo

L’intrigue du Pacte de Sang était une des choses que j’attendais le plus pour ce film, et je n’ai pas été déçue. La manière dont c’est utilisé pour rendre explicite les sentiments qu’Albus et Gellert ont l’un pour l’autre marche terriblement bien, notamment dans la première scène au restaurant. J’ai particulièrement apprécié la manière dont sa destruction achève de faire de Credence une sorte de miroir d’Ariana. En rappelant le récit de la mort de sa sœur, on nous rappelle que la culpabilité d’Albus se fonde dans le fait qu’il a attaqué Grindelwald, et, bien que ça ne soit pas explicite, pas besoin de broder pour comprendre que le Pacte de Sang a joué son rôle à ce moment là, causant, peut-être par ricochet, la mort d’Ariana. Il se passe presque exactement l’inverse avec Credence : les deux frères se lient, non plus pour attaquer Grindelwald, mais pour protéger l’un des leurs. Ils réparent, ensemble, l’amour familial qui avait été détruit par le Pacte de Sang lorsque celui-ci avait causé la mort de leur sœur. J’adore. Marjolaine

Pour moi, l’intrigue du Pacte de Sang marche et la symbolique est très belle. Sa résolution m’a plu aussi même si elle arrive un peu comme un cheveu sur le soupe. Seul point négatif selon moi : le Pacte de Sang manque de tuer Dumbledore quand il songe seulement à affronter Grindelwald… N’y ont-ils pas déjà pensé cent fois ? Cette soudaine capacité magique ne colle pas, je trouve. Mais après tout, elle n’a pas beaucoup d’importance et semble davantage symbolique de ce puissant engagement qu’ils ont pris, alors soit ! Rowenaz

Je trouve cette intrigue très intéressante, et malheureusement plutôt mal traitée et trop vite écartée. Il aurait été beaucoup plus intéressant que ce pacte de sang reste un obstacle jusqu’à la fin de la saga, sa résolution permettant de mener au duel final entre Dumbledore et Grindelwald. Les explications qui l’entourent, et notamment celles qui nous sont présentées dans le film pour justifier sa destruction me rappellent l’incompréhension autour de la baguette de sureau et son propriétaire dans les Reliques de la Mort partie 2. Celles et ceux n’ayant vu que les films à l’époque ne comprenaient pas la logique derrière l’artefact et comment celui-ci avait pu revenir à Harry. Il en va de même avec ce pacte de sang, dont on ne comprend pas comment il peut être détruit aussi simplement alors que Gellert attaque Croyance. Le pouvoir de l’amour ? Le fait que Grindelwald attaque un Dumbledore et son sang ? Mystère et Fizwizbiz en attendant d’en savoir plus. Ma baguette me pousserait à dire que, Warner n’ayant pas encore lancé le chantier du 4e film, la résolution de cette intrigue dans Les Secrets de Dumbledore est un jalon nécessaire permettant de terminer la saga plus tôt que prévu au besoin. Bdragon

Aurelius Dumbledore

Non. Parmi toutes les pistes envisagées, c’était l’une des moins cohérentes, l’une des moins intéressantes, et c’est pourtant celle qu’ils ont choisie. Pourquoi ? Qu’avait à y gagner Grindelwald à le prétendre frère d’Albus, plutôt que neveu ? S’il avait annoncé dès le départ que son oncle l’avait écarté de la famille, refusé de l’intégrer et chassé de son foyer, il mettait la même rage de Credence contre son ennemi juré ; sans mentir sur sa vraie filiation. Ensuite comment peut-on écarter si rapidement la mère de l’histoire, sans même mentionner son nom, d’où elle venait, qui elle était ?
Depuis quand Abelforth est-il au courant ? Depuis quand communiquent-ils par miroir interposé alors qu’Albus ne lui apprend la nouvelle que bien plus tard dans le film ? Et qu’est-ce que ça tombe bien en plus que sa mort approche ! Définitivement, l’explication de l’obscurus d’Ariana qui aurait parasité Credence m’aurait semblé bien plus logique et complète. C’est la fin d’une intrigue majeure du second volet qui s’écrase comme une mouche sur une vitre bien propre. Guizmo

Les théories autour de Credence ont animé tellement de discussions passionnées et délirantes que la révélation m’a obligé forcément à faire le deuil de mes théories favorites impliquant des expérimentations alchimiques complètement barrées. J’apprécie la simplicité de cette révélation, mais surtout ce qu’elle apporte au personnage d’Abelforth, un de mes chouchous de ce film. J’ai besoin de revoir le film pour être sûre de mes théories sur la manière dont le contact s’est établi à travers les miroirs, c’est pas clair et m’a rendu confuse sur le coup, mais j’ai quand même apprécié la tension dramatique que ça a apporté. Marjolaine

Cette histoire est touchante et j’apprécie que Croyance soit lié à Abelforth et non pas, encore et toujours, à Albus. J’ai simplement trouvé cette résolution un peu factice et facile, et elle laisse beaucoup de questions en suspens. Quid de la mère ? Et pourquoi Grindelwald s’est-il embêté à mentir ? Comment l’a-t-il su ? Et surtout, cette histoire de miroir… Comment !? Rowenaz 

L’information qui arrive comme un cheveu sur la soupe. Après lui avoir fait monter la moutarde au nez, on apprend qu’il est le fils caché d’un Dumbledore, son père savait qu’il existait mais ne l’a pas cherché. Pourtant, il se calme après un petit combat contre Dumbledore. J’en attendais plus de ce personnage, vraiment plus compte tenu de sa place dans le premier film et de la conclusion du second. Enfin, les miroirs qui sortent d’où ? A suivre donc, dans le prochain film ! Naria

Le personnage est littéralement gâché par le film. Outre son teint blanchâtre, l’arc narratif d’Aurélius/Croyance n’a aucun intérêt et son combat contre Dumbledore, résolu en moins de deux minutes, vient mettre un terme à un personnage bourré de potentiel. La révélation concernant sa vraie filiation semble être un tour de passe-passe scénaristique et n’apporte rien, si ce n’est plus de questions. Comment Abelforth est-il au courant ? Comment communique t-il grâce à ce miroir de la Tête de sanglier ? Comment Croyance bébé s’est-il retrouvé en route pour l’Amérique ? Pourquoi Croyance se calme t-il d’un coup en apprenant tout ça ? Comment l’Obscurial a t-il survécu tout ce temps ? Bref, beaucoup de sous-intrigues potentielles qui resteront lettres mortes, comme Croyance, qui devrait visiblement s’éteindre entre l’opus 3 et 4. Bdragon

Les élections magiques

Ma grosse déception de ce film, même si j’ai beaucoup aimé le Quilin et la mythologie construite autour. Ca confirme quand même que la société sorcière n’est 1) pas du tout démocratique, 2) obsédée par les apparences et beaucoup trop facile à manipuler (c’est pas nouveau, mais là c’est un peu trop poussé à son paroxysme). Mais ma frustration vient surtout de l’absence de discours politique en tant que tel, alors que c’est censé être au cœur de l’intrigue. Malgré ses défauts, Les Crimes de Grindelwald s’en sortait beaucoup mieux sur ce point, à montrer réellement l’idéologie de Grindelwald et la manière dont il la présente à la foule. Ici on est dans de la manipulation des images, mais à aucun moment on ne creuse les motivations et convictions des candidats. Le plus gros manque étant pour le personnage de Santos, quasiment muette alors qu’elle est censée incarner un avenir progressiste. Une belle occasion sacrifiée, probablement pour rendre le film plus digeste, je le regrette quand même. Marjolaine

Je ne sais pas comment ils ont réussi à rendre si transparents les candidats. J’aurais voulu les entendre parler, exprimer leurs positions. Santos est choisie très bien mais sur quelles idées ? L’avantage, c’est que ça m’a permis de me concentrer sur les détails des costumes et d’y tirer des informations sur leur personnalité. L’autre point, c’est que cette position permet aussi au Quilin d’être réellement la pièce maîtresse des élections et je trouve qu’un monde magique qui remet son avenir à la décision d’un animal légendaire, c’est touchant. Naria

L’intrigue politique vendue par les bande-annonces du film m’a clairement laissé sur ma faim en découvrant le film. Il n’y a aucun enjeu dans cette élection au poste de Manitou Suprême, et ce moment sert de prétexte à mettre en avant le personnage de Grindelwald. J’aurais aimé que l’on en apprenne plus sur le mode de scrutin, l’organisation des élections, les idées défendues par les candidats, et il n’en n’est rien. J’ai une grosse pensée pour l’actrice et l’acteur incarnant les deux candidats originels à l’élection, Maria Fernanda Cândido et Dave Wong. Tandis que la première a quelques lignes de dialogue et une scène de fin, le second sert littéralement de pot de fleur tout au long du film, l’acteur n’ayant même pas une ligne de dialogue ! Ça valait bien le coup de les mettre en avant sur les affiches promotionnelles… Si Harry Potter savait apporter un regard cinglant sur la politique via sa critique du ministère de la magie, on atteint ici le stade de la parodie. Vous ne me ferez en effet jamais croire que le monde magique en entier accepte ainsi sans broncher qu’une créature magique apparaissant mystérieusement vienne désigner, alors que ce n’était plus le cas depuis un grand moment, la personne remportant l’élection. Et qu’après le décès de cette première créature, une autre en désigne deux coup sur coup. À ce prix j’aurais aimé que Jacob soit élu pour venir détruire le système une fois pour toute. Bdragon

Les personnages

Newt 

Eddie Redmayne est toujours au top. Je retiens surtout la magnifique scène de la naissance des bébés Quilin, qui permet de se rappeler à quel point ce lien entre Newt et les créatures magiques est si spécial. Marjolaine

Je ne me remets pas de la danse des bébés manticores ! Le personnage de Norbert est présent sans éclipser les autres, j’ai aussi aimé les moments partagés avec son frère. Et puis, quel excellent représentant des Poufsouffle ! Naria

La scène d’introduction en Chine m’a énormément plue ; enfin, Newt dans un environnement sauvage ! Sa relation avec ses créatures magiques est toujours aussi belle et j’ai apprécié de voir les créatures lui venir en aide. j’ai aussi beaucoup aimé le voir faire véritablement équipe avec son frère dans ce volet. Ipiutiminelle

Toujours égal à lui-même, Eddie Redmayne ne cesse de nous toucher, et sa relation avec chacune des créatures magiques dont il a la charge le rend d’autant plus attachant. Les créatures magique avaient été quelque peu délaissées lors du précédent opus, cela fait très plaisir de les voir à nouveau crever l’écran, et de pouvoir enfin mettre un nom sur ce petit niffleur vedette. Lantaelen.

Eddie Redmayne reste un excellent choix de casting et son Norbert est à la fois touchant, sensible et drôle. On ne cesse de s’attacher à lui et le film tient en grand partie grâce à sa performance. Dommage que l’histoire le relègue au second plan. Bdragon

Grindelwald

Je faisais partie des sceptiques face au changement de casting, mais j’ai finalement adoré ce nouveau Grindelwald. Puissant, le méchant comme on les aime. J’ai aimé aussi le fait que tout ce ne soit pas tout blanc, ou tout noir, notamment à la fin du film quand il saute dans le vide. On ressent chez Albus une sorte de regret, si on peut dire ? Par contre, le fait que Grindelwald se présente pour des élections n’est pas assez clair à mes yeux … Moon

Mads Mikkelsen me convainc bien plus en Grindelwald que Depp auparavant. Sa prestance, son charisme, mais aussi son côté sombre et sa convoitise du pouvoir transparaissent vraiment dans le jeu de l’acteur. On n’a malheureusement pas le temps de développer entièrement le personnage, sa rivalité avec les autres personnalités politiques, parce que le film veut avancer dans l’intrigue et boucler le tout… C’est mon seul regret quant à cette performance ! Guizmo

J’ai beau aimer Johnny Depp, il faut avouer que Mads Mikkelsen était fait pour jouer Grindelwald, c’était d’ailleurs la chose que j’attendais avec le plus d’impatience. Il fait partie de ces acteurs avec une prestance et un charisme incroyables, faits pour jouer des personnages sombres et sûrs d’eux, sans pour autant tomber dans le cliché du méchant qui veut conquérir le monde. Drearan

J’en remets une couche sur le charisme de Mads Mikkelsen ! J’ai aussi terriblement apprécié la manière dont il fait sentir l’attachement que Gellert lui-même a pour Albus. On n’est pas dans de la manipulation pure, et le “Who will love you now ?” final m’a achevé. Marjolaine

J’en remets encore une, ça me fait plaisir, Mads Mikkelsen est incroyable ! il débord de charisme ! Mais le personnage manque cruellement de fond et de travail d’écriture pour mieux le définir. A chaque film, il change de tête – ce qui pourrait être un élément distinctif de Grindelwald, et ce n’est pas exploité. Il change à chaque fois d’attitude, de “stratégie”. On sait ce qu’il veut mais on se demande s’il a une claire idée de ce qu’il fait et comment l’obtenir. Pourquoi sort-il de la voiture se faire arracher les vêtements et décoiffer par la foule ? Pour atterrir dépareillé dans un dîner au milieu des politiciens ? OK mais pourquoi ? Pourquoi jeter un Doloris sur un Moldu devant tout le monde ? Alors qu’il est parti dans ce film pour prétendre qu’il n’a rien fait et être innocenté de ses crimes précédents contre les Moldus ? Pourquoi recommencer devant tout le monde ? Fantine

La performance de Mads Mikkelsen m’a ravie, les nuances de ses émotions et expressions sont incroyables. Les subtilités de son jeu rendaient bien plus justice à la fascination que peut exercer le personnage de Grindelwald sur la société sorcière que celui de Depp. J’ai également apprécié qu’il ne soit pas aussi grimmé que l’avait été Johnny Depp ; pas de décoloration ratée, pas d’oeil de verre, il ressemble beaucoup plus à un homme ordinaire. Son alchimie avec Jude Law fonctionne à merveille, et les scènes où ils évoquent leur amour de jeunesse m’ont beaucoup plu. Ipiutiminelle

La performance de Mads Mikkelsen m’a bluffé. Il est charismatique et fait honneur à la complexité du personnage. L’alchimie avec Jude Law est remarquable, et il est assez appréciable que leur relation, telle qu’elle est développée, reste plutôt fidèle au canon. J’ai franchement hâte de le voir devenir ce grand méchant que l’on connaît très peu, au final. Lantaelen.

Quelle claque ! Mads Mikkelsen apporte tout ce que j’attendais à Grindelwald : une stature impressionnante, charismatique, et à la fois terrifiante et cruelle. Ce changement de casting est une vraie réussite, et apporte beaucoup au film. Re-tournez les Crimes de Grindelwald avec lui, je veux et j’exige ! Certaines des actions de son personnage (l’attaque sur Jacob ?) restent néanmoins contradictoires avec ce que porte l’acteur. Bdragon

Albus Dumbledore

C’est magnifique de voir Jude Law prendre tellement au sérieux son rôle de Dumbledore. Tout ce qui était esquissé dans le film précédent a toute sa place dans ce film. Humanité, complexité, culpabilité, intelligence, humour… Tout est maîtrisé. Marjolaine

J’attendais beaucoup de ce personnage, dont je suis plus que confuse. Tout le long de ce film j’avais l’impression d’être Harry quand il se rend compte que Dumbledore n’a pas toujours été vieux avec une barbe blanche. Je n’arrivais pas à me dire que c’est ainsi que Dumbledore jeune agissait.. Je ne sais pas pourquoi mais j’avais beaucoup de mal à voir ce personnage comme le futur Dumbledore de la saga Harry PotterFantine

Une pépite. Jude Law est parfait. L’histoire de Dumbledore est respectée, on retrouve avec plaisir ces éléments trop peu exploités dans les films Harry Potter. J’ai adoré plonger dans son passé, l’entendre parler si explicitement de son amour pour Grindelwald et de l’histoire de sa sœur. Sa relation avec son frère est tellement intéressante également ! On retrouve la malice et la complexité du Dumbledore qu’on aime, et c’est un plaisir. Rowenaz 

Avant de voir ce film, je détestais Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore. Je le trouvais trop calculateur et assez détaché par rapport aux choix qu’il faisait et menant d’autres à l’abattoir. Jude Law apporte toute la douceur, l’amour, la sensibilité à un personnage blessé par ses choix de jeunesse. Je l’ai trouvé juste, annonçant les prémices de l’homme sage qu’il deviendra et qui assumera ses décisions pour le Bien commun. Et puis le Qilin qui s’incline devant lui, on comprend mieux la psychose du Ministère de la Magie dans l’Ordre du Phénix sur une hypothétique armée de Dumbledore ! Naria

Albus Dumbledore est un personnage que l’on aime ou que l’on déteste, il n’y a pas de demie mesure. Si je n’ai pas d’affection particulière pour le personnage, Jude Law fait un travail remarquable, à l’instar de ses autres interprètes. Il apporte une certaine sensibilité et une certaine douceur à ce grand personnage si énigmatique. Et les hommes au chapeau, je dis oui ! Il a du style et un charme évident. Lantaelen.

Jude Law apporte fougue et douceur à la fois au personnage de Dumbledore. On casse ainsi la carapace du vieux professeur n’agissant que rarement directement pour nous montrer qu’il a été humain et sensible avant de devenir, on se demande encore comment, ce vieux directeur de Poudlard froid et calculateur. L’interprétation est au diapason de celles de Mads Mikkelsen, même si le charisme de ce dernier emporte tout sur son passage. Bdragon

Credence

J’avais beaucoup d’attente sur ce personnage, parce que sa place est très prometteuse dans les films précédents. Dans ce dernier volet il y a une scène forte entre lui et Albus, et à part cela pas grand chose d’autre … Petit bémol pour le coup ! Son parcours est tellement riche, il y aurait tant à raconter ! Moon

Je l’ai dit précédemment, il y a un trou dans la raquette sur ce personnage pourtant central dans les autres films. A voir la suite ! Naria.

Une catastrophe, tant du point de vue du scénario que de l’interprétation d’Ezra Miller. Rien ne va, on ne s’attache plus du tout à lui, et ce changement de coiffure n’aide en rien. Bdragon

Tina

Que c’était compliqué d’intégrer Tina, de ne pas l’écarter du projet, malgré ce tournage difficile, sa maladie, sa grossesse. Et le pari est pour moi gagné ! L’explication de son absence est donnée, et malgré le peu de présence à l’écran, son personnage arrive malgré tout à en sortir grandi et sa relation avec Newt a évolué au cours du film. C’est une belle promesse, et j’ai hâte de revoir Katherine Waterston plus longuement dans le futur opus. Guizmo

Toutes mes félicitations pour la promotion de Tina qui la rend donc indisponible pour aider ses amis et sa famille à sauver le monde. Des faits de vie liés à l’actrice font qu’elle n’a pu être présente, l’explication est un peu tirée par les cheveux cependant, un personnage aussi important en plus aurait été certainement de trop. Il y avait déjà tellement à dire et à suivre, c’est peut-être un mal pour un bien mais j’attends une romance dans le prochain film ! Naria

Une jolie manière de l’intégrer dans le film malgré tout, et qui laisse la porte ouverte à une vraie romance dans l’hypothétique quatrième film. Le travail sur la couleur des costumes entre elle et Norbert est fascinant, et leur scène de fin est très touchante. Bdragon

Nagini

Qui ça ? Elle n’est pas mentionnée une seule fois, alors qu’elle entretenait une relation si forte avec Credence dans le second film. Les scénaristes l’auraient-ils oubliée ? Drearan

Croyance était déjà pas mal seul… Mais sans Nagini, c’est assez peu justifiable selon moi. Un petit mot pour expliquer son absence aurait été le bienvenu. Rowenaz 

Sortie du cinéma, première question qu’on s’est tous posée : où est-elle ? Naria

Credence dépérit dans ce film, et il a perdu une des rares personnes qui le traitait comme un ami, un égal. La perte de Nagini est pour moi intimement liée à la dépression de Credence. Que l’actrice ne puisse pas être présente, je peux le comprendre, de ne pas avoir essayé d’expliquer son absence par quelques lignes de dialogue, beaucoup moins. Ipiutiminelle.

We don’t talk about Nagini… Bdragon

Queenie

Queenie reste l’un des personnages les plus intéressants de la franchise ; elle est puissante, intelligente, et surtout sensible. Perdue dans son amour que les lois de son propre pays lui refusent. Son arc narratif aurait réellement pu être plus poussé, et il est dommage de balayer si tôt dans le film son allégeance à Grindelwald. J’aurais aimé qu’on ait plus de doute sur son combat, qu’elle reste “grise” dans ses décisions, que le spectateur ait le temps de douter. Malheureusement, dès le sacrifice du Quilin ; puis lors de sa première conversation avec Credence ; on comprend bien vite qu’elle sera de retour du côté des héros avant la fin du volet. C’est donc une demi-teinte pour le traitement de ce personnage. Guizmo

J’ai particulièrement apprécié la manière dont son don est utilisé, à la fois comme une arme par Grindelwald, et comme un moyen pour les scénaristes de montrer la force de Queenie, sa résistance discrète. Moins convaincue par la scène avec Jacob au Bhoutan. Marjolaine

Grande fan de costumes, je n’ai pu m’empêcher de détailler les différences sur Queenie tout au long du film. En fonction de son allégeance, il n’y a pas que ses cheveux qui changent de teinte. Cependant, elle était très effacée et son retournement de veste était aussi facile que dans le second film. Mince quoi, c’est pas juste une jolie fille, elle est legilimens ! Elle a le potentiel de développement d’une Molly Weasley qui défend tout pendant la Bataille de Poudlard. Je suis un brin déçue. Naria

De l’avis général, Queenie est l’un des personnage les plus intéressant de la franchise, et son don de legilimens en fait un personnage très puissant. Elle est charmante, sensible et très distinguée. Cependant, je l’ai trouvée très en retrait dans le film, malgré une personnalité forte et une garde-robe toujours aussi irréprochable. J’attends d’en apprendre davantage sur elle et la Légilimancie dans le prochain opus, car elle me fascine et je suis resté quelque peu sur ma faim. Lantaelen.

Queenie est un personnage trouble et passionnant. Son évolution au fil du film, marqué, tout comme celle d’Ombrage dans l’Ordre du Phénix, par ses costumes, est intéressante, même si trop rapide à mon goût. On sent son revirement arrivé très vite, et rien ne nous montre qu’elle a activement aidé Grindelwald, si ce n’est en lisant quelques pensées. On préserve donc le personnage pour la faire recalculer aisément dans le côté du bien. Bdragon

Lally Hicks

J’ai adoré ce personnage ! Et le contenu de sa valise était trop stylé ! Moon

Quelle nouveauté ! Quelle fraîcheur apportée par Eulalie dans ce volet ! C’est toujours compliqué d’intégrer un nouveau personnage sorti de nulle part à une mécanique déjà bien huilée (comme pour Leta, Yusuf ou Nagini dans le volet précédent), mais Lally trouve terriblement vite sa place. Guizmo

J’ai beaucoup aimé son personnage, qui a su redonner un peu de fraicheur et faire un peu oublier l’absence de Tina. Elle est hilarante dès sa première scène et j’ai beaucoup apprécié les scènes qu’elle partage avec Jacob et Theseus. Drearan 

Très beau nouveau personnage apporté à la saga ! La magie qu’elle pratique est très intéressante, et la place parmi les sorcières et sorciers les plus puissants du monde magique pour sûr ! J’aime énormément l’interprétation de son actrice, qui lui apporte une énergie et un humour qui viennent contrebalancer à merveille avec les autres membres du groupe. Son duo avec Thésée marche extrêmement bien ! Bdragon

Theseus

Ce n’est sans doute pas le plus apprécié, mais je l’avais déjà adoré dans le second volet, et j’étais heureuse de le voir plus souvent à l’écran dans ce troisième film. Ses scènes avec Newt sont très drôles, mention spéciale à la scène de l’évasion de la prison où il faut être “plus souple du bassin”. Cependant, j’aurai apprécié que son personnage soit un peu plus développé.  Drearan

Le duo Newt/Theseus est irrésistible ! J’ai néanmoins été surprise que Theseus ne mentionne pas une seule fois Leta… Je choisis de penser que c’est parce qu’il est du genre à ignorer son deuil et le cacher derrière un air nonchalant, et jusqu’à ce qu’il explose. Peut-être dans le prochain film ? Marjolaine

La relation de Thesee et Norbert se développe. Une sorte de distance étrange teintée d’affection et d’un deuil en commun qui plane sur eux subtilement tout au long du film… J’ai été convaincue par ce personnage et heureuse qu’il soit plus présent que dans le film précédent. J’ai hâte de les voir se rapprocher dans les éventuels films suivants et j’espère qu’ils auront droit à des scènes aussi drôles et mignonnes que celles de ce film ! Rowenaz 

Il y a entre eux une complicité chaste, très british, qui transparait quand Albus parle de sa propre relation avec son frère. J’ai aimé cet équilibre qui n’a pas gâché l’intrigue principale, c’était agréable ! Thésée reste encore trop en retrait malheureusement. Naria

La relation entre Thésée et Newt est bien exploitée et développée dans cet opus, qui s’intéresse finalement plus aux liens entre ses personnages qu’à son intrigue principale. Même si le personnage reste très secondaire, sa présence et son duo avec Lalie m’ont beaucoup amusé. Bdragon

Yusuf Kama

Je reste frustrée par l’arc de ce personnage. J’ai l’impression qu’il manque quelque chose, car il a clairement un rôle d’agent double mais on ne le voit pas “passer” d’information, alors que ça aurait pu ajouter un suspens bienvenu. C’est d’autant plus dommage que j’ai apprécié l’intensité de la scène d’extraction du souvenir de Leta, j’ai trouvé ce moment puissant, mais sur lequel rien d’autre n’a été construit. Marjolaine

Définitivement, ce personnage n’apporte pas grand chose à l’intrigue. On sait dès son arrivée chez Grindelwald qu’il ne trahira pas Dumbledore, et son arc est prévisible au possible. Il ne sert à la limite qu’à montrer encore plus explicitement que Queenie ment au mage noir… Et il est triste de voir qu’il est devenu presque muet, ses lignes de dialogue se comptant sur les doigts de la main. Guizmo

Qui ? Je n’ai pas compris pourquoi risquer sa vie en allant vivre chez les adversaires pour juste faire un twist qui bloquent les partisans de Grindelwald à la dernière minute. Il n’y avait pas mieux à faire ? Genre glisser un truc dans la poche de Grindelwald qui allait aider à briser le Pacte de Sang ? Il y avait tellement à faire… J’espère que nous aurons le plaisir de le voir dans le prochain film et plus développé. Naria

Dommage pour nous… Ce personnage semble avoir un potentiel énorme ! Et l’acteur me paraît excellent ! Alors pourquoi tant de mystères ?  Peut-être que le prochain opus nous en dira plus ? Je l’espère en tout cas ! Moon 

J’ai le sentiment qu’il manque beaucoup de scènes autour de Yusuf, pour expliquer son rôle et la manière dont il s’inscrit dans le plan de Dumbledore. Le personnage est très peu présent et intéressant, et alors que Grindelwald lui demande de faire ses preuves, nous n’en voyons jamais la couleur, c’est fort dommage. Tout est prévisible chez lui, même Gellert aurait pu le voir ! La scène du souvenir reste cependant extrêmement bouleversante. Bdragon

Jacob 

A nouveau, Jacob y est pour beaucoup dans le potentiel humoristique du film ! En toute simplicité, et avec son inestimable franchise, il tient le film de bout en bout. Les quelques scènes avec Queenie sont assez réussies je trouve, on y croit ! Moon

Enfin, l’humour du film ne se fait plus aux dépens de Jacob ! Le personnage n’est plus juste le bon copain rigolo, il prend de l’épaisseur, s’affirme comme membre de la bande à part entière, et montre une plus large palette d’émotions. J’ai été touchée par la séquence finale, et son mariage avec Queenie dans sa boulangerie. La scène est émouvante sans tomber dans l’exagération. Une belle évolution pour les personnages depuis le premier film. Ipiutiminelle 

Jacob prend dans ce film un rôle et une posture beaucoup plus sérieuse, tout en conservant une grande partie des rebondissements humoristiques du récit. Il est notre lien et notre ancre avec ce monde magique inconnu, et sa présence et bonhomie nous font passer un excellent moment. L’arc narratif concernant sa baguette est très amusant, et sa relation, sincère avec Queenie, est très touchante. Son mariage avec cette dernière est la scène la plus attendrissante du film. Bdragon

Les créatures magiques

C’est pour moi le gros plus de ce volet ! Je me suis régalée avec les animaux fantastiques représentés ! Ils ont joué un rôle énorme dans l’esthétique du film je trouve, et me font vraiment dire que le film est beau, touchant et drôle ! Teddy, Pickett, le plus mignon des botrucs qui a ses lunettes miniatures, je craque ! Et le quilin bien sûr ! Beau, touchant, intelligent, j’aime aussi les attributs qui lui sont donnés. Cette créature adorable fait sans aucun doute partie de mes préférées maintenant ! Enfin, j’ai beaucoup aimé la présence du phénix. On le connaissait déjà, pourtant ici son rôle est différent puisqu’il suit Credence, qui va bientôt mourir. Cette créature me touche toujours dans sa symbolique, et je trouve cette interprétation belle dans ce cas. Moon

D’accord avec Moon sur tous les points. Le Quilin est une magnifique réussite, et offre une de mes petites scènes favorites, lorsque le groupe est à la Tête de Sanglier et que Jacob joue avec ce petit chou. En fort contraste, ça rend les scènes de Grindelwald, tuant puis ressuscitant le jumeaux, particulièrement perturbantes. Marjolaine

C’est bon, c’est décidé. Quand je serai grande, je serai magizoologiste comme Norbert ! Mais je pense que l’exposition Merveilles de la Nature avait déjà initié cette décision. Les créatures sont au cœur de l’intrigue et nécessaires aux sorciers, j’ai juste du mal avec le traitement fait aux Quilins, peut-être un traumatisme lié à Bambi. Quoiqu’il en soit, ces animaux sont doués de sentiments et ça se voit à l’écran, on a très envie de tous les adopter. Le duo Teddy et Pickett m’a fait craquer, ils sont le reflet d’un principe quand on a un animal de compagnie : on reçoit ce que l’on donne à ses animaux. Ils font tout pour aider Norbert qui leur rend bien. Le bébé Quilin est à mon sens la chose la plus mignonne et fantastique de cet univers, se dire qu’ils ont un animal capable de sonder le cœur des gens parce qu’il est lui-même pur, c’est très beau. Malheureusement, plane sur lui l’espèce humaine et ses ambitions. Si avec ça, on ne parle pas d’écologie, c’est qu’on est passé à côté d’un message ! Naria

On retrouve, à l’instar des Animaux Fantastiques, une vraie mise en avant des créatures magiques dans cet opus. Le Quilin est adorable, le Vouivre également, sans parler des manticores, même si leur crise d’adolescence semble être très compliquée… Je reste juste déçu de ne pas avoir eu de scènes dans la valise, un endroit que j’affectionne tout particulièrement voir et découvrir. Et le duo Pickett-Teddy mérite à lui seul son spin-off ou sa série dérivée ! Bdragon

La musique

Un compositeur à la hauteur de James Newton Howard était indispensable à mes yeux pour une saga de cette envergure, les compositions sont magnifiques ! J’ai adoré le fait de retrouver beaucoup de Poudlard (en musique), et quelques notes des Harry Potter. Plaisir et nostalgie sur cette bande-son ! Moon

Après l’incroyable partition que James Newton Howard avait livré pour Les Crimes de Grindelwald, j’attendais beaucoup, et j’ai été dans un premier temps un peu perturbée par les reprises de thèmes de Williams, ou de ses propres thèmes des deux volets précédents, qui faisaient parfois presque “copié-collé”. J’ai quand même été sensible immédiatement à quelques nouveaux morceaux très réussis. En ayant l’occasion d’écouter l’album de la bande originale, j’apprécie beaucoup plus l’évolution subtile, quelques nouveaux thèmes, et moments forts. Marjolaine

J’ai adoré la bande-son de ce troisième volet, et tout particulièrement le morceau choisi pour la scène de la grotte de la Manticore, son ton joyeux et rythmé accentue l’humour de la scène à la perfection, et permet de contrebalancer avec la violence des attaques de la Manticore. Ipiutiminelle

J’ai vraiment apprécié la bande originale du film, et les rappels aux plus grands morceaux de la saga ne m’ont pas du tout dérangé ! Je vais prendre le temps de la réécouter seule maintenant, pour voir si elle existe ou non sans les images et me fait vibrer comme ce fut le cas pendant la projection. Bdragon

Visuels et esthétique

Juste un petit mot sur les décors et les costumes qui sont toujours aussi brillamment réussis ! On adore découvrir encore de nouveaux lieux, toujours aussi magiques et avec un souci du détail vraiment appréciable. Chaque pays a son univers graphique et j’ai adoré ça ! Quant aux costumes, ils allient classe et subtile ambiance magique… Tout le film est un vrai plaisir pour les yeux. Bravo ! Rowenaz 

Mes yeux de cosplayeuse ont été satisfaits ! Naria

Il est temps de changer David Yates à la réalisation. On a le même film, en termes d’image, de montage, de réalisation que depuis l’Ordre du Phénix, et c’est dommage. Tout le travail sur les décors, les accessoires, les ambiances est gâché par une approche classique et terne. Si cela permet d’avoir une cohérence dans l’univers, cela lui fait perdre également en intérêt à mesure que le temps passe. Yates ne sait toujours pas filmer correctement les combats, qui sont approximatifs et très vite balayés. Les scènes plus sensibles sont en revanche mieux traitées que dans les Crimes de Grindelwald. Bdragon

Conclusion

Je sors de ce film satisfait, j’y ai passé un bon moment. L’humour était de la partie, le visuel aussi, les duels impressionnants et les différentes magies magnifiquement exploitées. Les créatures font leur retour avec toujours autant de brio, tendresse et amusement. Les personnages sont mieux développés, les duos fonctionnent bien, et ils continuent à être attachants. Mais, plusieurs “mais” subsistent, surtout dans l’intrigue. Si la barre a été légèrement redressée, je ne peux pas encore totalement penser que c’est une réussite. C’est un petit 13/20 pour moi ! Guizmo

J’étais assez contente en sortant du cinéma, mais il y a quelques ombres au tableau. Même si les visuels et l’humour étaient de la partie, les nombreuses incohérences et le scénario assez prédictible (dès le début, on sait que c’est Bunty qui possède la valise avec le qilin, que Yusuf Kama et Queenie sont des agents doubles… aucun suspense là-dessus) ne m’ont pas permis de l’apprécier pleinement. Il n’empêche qu’il m’a presque réconciliée avec la franchise, mais il en faudra beaucoup plus pour me convaincre lors du prochain opus. Drearan

Étant très attachée à cette franchise, je comptais surtout sur ce film pour réconcilier les fans qui s’en étaient éloignés. En cela, je suis plutôt contente. J’ai quand même quelques frustrations inévitables quand on attend autant un film. Mais parmi toutes mes attentes, la plupart ont été satisfaites, surtout concernant les relations entre les personnages, et les thématiques et symboliques développées. Marjolaine

De nombreux efforts ont été faits pour essayer de remonter la barre de la franchise, la simplification de l’histoire est un soulagement, et le film est bien mieux rythmé. Mais pour moi ce film ne répond pas à mes attentes. Je pensais que le choix d’engager Steve Kloves comme co-scénariste de ce troisième volet était fait par volonté d’avoir un scénario bien mieux ficelé et cohérent. On partait d’une base très bancale, et pour avoir un film qui se tienne complètement il ne fallait pas se permettre la moindre erreur. Si ce film a corrigé certaines incohérences, il en créé d’autres (la stratégie du hasard, le portoloin, Dumbledore qui connaît la salle sur Demande…). La mise en scène est très simple, certaines scènes semblent avoir été tournées et rajoutées au dernier moment comme la scène du café au début entre Grindewald et Dumbledore, quel intérêt ? Pourquoi ne pas garder la grande révélation sur leur relation à la fin quand ils brisent le pacte de sang, est-ce que ça n’aurait pas eu un impact bien plus puissant sur les spectateurs ? Les duels ressemblent de plus en plus à des scènes d’actions de Dr Strange… Depuis quand les sorciers vous font traverser des trottoirs pour combattre votre esprit simulé par une pièce blanche ? C’est encore un échec pour moi. Fantine

Malgré tous les petits défauts énoncés dans cette critique, je suis sortie du film conquise. Oui, l’intrigue est parfois bancale ou expéditive, oui, certains personnages mériteraient d’être plus exploités et, oui, quelques éléments arrivent comme un cheveu sur la soupe. Mais ces personnages ! Ces décors ! Ces musiques ! Cet univers ! Et surtout, cette puissante histoire entre Dumbledore et Grindelwald, si bien exploitée ! J’ai passé un excellent moment, complètement plongée dans le film et, au moment du visionnage, ses défauts me sont complètement passés inaperçus. On peut donc dire que la magie est là et qu’elle suffit à nous faire oublier ce qui ne va pas pour nous prendre aux tripes avec tout ce qui va ! Mon film préféré des trois 🙂 Rowenaz 

La suite ! La suite ! Il s’agit de mon préféré des trois films, certainement parce qu’il m’a réconciliée avec Dumbledore, m’a montré des Animaux Fantastiques et compte tenu du titre, je m’attendais au moins à ça ! J’ai hâte d’aller le voir une seconde fois pour encore mieux tout analyser ! Naria

Ce troisième volet est mon favori ! J’en ai pris plein les yeux. J’ai ri, j’ai pris les personnages en affection, et j’attends désormais la suite avec impatience ! Moon

J’ai envie d’en savoir plus sur les différentes formes de magie découverte dans ce volet, la dimension alternative dans laquelle Dumbledore combat Credence, puis Grindelwald, sur la façon dont Abelforth et Credence communiquent, et j’espère trouver des réponses satisfaisantes, qui ne contrediront pas trop le canon. J’ai cependant passé un excellent moment, ce troisième volet redynamise la franchise, a apporté les réponses que j’attendais, et le merveilleux personnage de Lally Hicks. Le Always d’Abelforth m’a crispé lors de mon premier visionnage, tant la référence était appuyée, mais je me suis surprise à l’apprécier bien plus lors de mon deuxième visionnage du film ; finalement, j’apprécie que cette citation soit utilisée ici pour décrire un amour qui n’est pas malsain, contrairement à la relation Rogue-Lily. Ipiutiminelle.

Le film m’a réconcilié avec la franchise. Très satisfait à la sortie du cinéma, je reste cependant sur ma faim vis-à-vis de l’intrigue politique brouillonne pourtant centrale, et par le manque de substance de certains personnages tels que Credence ou Yusuf Kama. Si je trouve beaucoup de défauts à ce troisième opus, il n’est pas mauvais pour autant. J’ai par ailleurs trouvé la relation entre Grindelwald et Dumbledore, même si j’aurais aimé qu’on se concentre davantage sur les “secrets” de ce dernier, et notamment sur Ariana, qui manque à l’appel, et qu’on aurait aimé voir dans un flashback, au delà d’un simple tableau. Lantaelen.

J’ai passé un bon moment devant le film, chose que je ne pensais plus possible après les Crimes de Grindelwald, qui m’avait fortement déçu. Le fait d’avoir beaucoup travaillé dessus en amont de sa sortie pour la Gazette m’a enlevé pas mal de surprises et de découvertes, mais le film a su par certains moments et aspects me surprendre et m’emmener avec lui. Il n’en reste pas moins qu’il comporte beaucoup de facilités et que son scénario veut se la jouer complexe en étant définitivement trop simple. Efforts Exceptionnels donc, j’attends l’Optimal sur le prochain, si prochain il y a ! Bdragon

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