Logo Gazette du Sorcier
menu fermer
La Gazette Logo du Sorcier
L'actualité Harry Potter et Animaux fantastiques depuis juillet 2000 !

Quarts de finale : 1ère partie

groenland_norvege.gif

16h, le match est comme déjà joué. En effet, le Groenland qui s’est sorti de son dernier match de justesse fait piètre figure face à la Norvège qui, elle, a gagné avec brio face à la Hongrie
Les deux équipes ont cela de comparable qu’elles évoluent dans les mêmes conditions à domicile, aucune n’est donc avantagée dans ce premier quart de finale.

La Norvège ouvre le score à la 7e minute avec un but de Wilhelm Savabini. Le Groenland tente de répliquer mais encaisse but sur but. Ce n’est pas que le gardien soit incapable, bien au contraire, il lui arrive d’arrêter certaines attaques, mais la qualité du jeu norvégien ainsi que la faiblesse de la défense groenlandaise crée un déséquilibre contre lequel Lars Posse, devant ses buts ne peut pas faire grand-chose.

Comme on pouvait le craindre, le jeu groenlandais s’est fait plus musclé et les batteurs jusque là assez correct ont retrouvé les manières qu’ils ont montré tout au long de cette Coupe du Monde. Rapidement, les cognards heurtent Mohn, l’attrapeur, et Jerstad. Le batteur Haakon Lovaas tente de répliquer et se lance contre son adversaire pour récupérer un cognard que son adversaire groenlandais s’apprêtait à lancer à la capitaine norvégienne. L’arbitre y a vu un Boutenchoc, et a infligé un tir de pénalité à la Norvège. C’est une la première erreur d’arbitrage aussi manifeste ! Il est évident qu’il faudrait être suicidaire pour faire un Boutenchoc contre les brutes épaisses que sont les batteurs Groenlandais.

Henrik Petersen se positionne face aux buts alors que Martens, batte à la main affiche un sourire goguenard sous les sifflets du public. Le Groenland marque là un but infâme ! Mais heureusement, ce spectacle ne nous sera pas infligé très longtemps : Mohn réapparaît rapidement après ce penalty avec le vif à la main.

La Norvège gagne 230 à 30 en 54 minutes et Martens de dépit jette sa batte en sa direction, ce geste n’a pas échappé à l’arbitre et ce le batteur tricheur risque plusieurs matchs de suspension.

irlande_bresil-2.gif

20h, Katja Lernborg lance le début du match alors que les gradins, qui se résument en grande partie par une foule verte soutien son équipe dans un seul mouvement de ferveur populaire. Les supporters brésilien, bien qu’en nombre respectable, peinent à se faire entendre dans le stade. Les balles s’élancent gracieusement dans les airs et le souafle est immédiatement capturé par l’équipe Irlandaise, en la personne de Triona Kieran. Elle s’avance au milieu des lignes adverses, esquive un cognard et passe à Quigley qui échappe à une tentative d’interception du brésilien Pedro Rufino en lui volant par-dessus. Il rend immédiatement la balle à Kieran, qui est magnifiquement bien placée pour marquer…. Et….la balle est attrapée au vol par Costa, le capitaine de cette équipe brésilienne qui repart de suite en contre attaque.

On le voit le premier but, bien qu’insignifiant dans le bilan du match est symbolique pour les 2 équipes. Ce soir, ces deux équipes semblent déterminées à marquer ce premier but. La concentration est extrême, les occasions nombreuses et les contre-attaques systématique. C’est un beau match auquel nous assistons sous le climat irlandais, devenu plus clément. On l’a déjà vu cette après midi, c’est encore plus flagrant ce soir : les joueurs évoluent plus facilement et à effort égal se fatiguent moins que pendant la récente canicule.

Le score s’ouvre à la 42e minute avec un but de Costa. La foule irlandaise est fair-play et ne siffle pas, comme on peut parfois l’entendre l’équipe adverse. L’Irlande reprend la main, et conquiert chaque centimètre cube de volume de jeu pour se rapprocher des buts Mais reperd la balle. La déception est immense dans le camp irlandais qui ravive la flamme de ses joueurs par des chants traditionnels. Dans la dizaine de minute qui suit l’Irlande égalise en marquant les 3 buts qui lui manquaient. Dire que ces chants ont porté leurs fruits serait peut-être naïf, c’est probablement aussi le résultat du sérieux savon que leur a passé leur capitaine Emer Brophy.

La suite s’enchaîne assez rapidement. Le jeu augmente en intensité. Les qualités des joueurs ressortent de plus en plus nettement. L’attaque irlandaise devient redoutable, fidèle à sa réputation. L’équipe brésilienne, plus équilibrée résiste vaillemment, mais elle ne peut attaquer tant le souafle est monopolisé par l’Irlande.

L’écart se creuse à 230 contre 110 lorsque Anna Belcher s’empare du vif qui flottait nettement au-dessus du jeu.

Vous avez aimé cet article ? Vous pouvez soutenir la Gazette du Sorcier sur Logo tipee.com
Soutenir la Gazette sur Tipeee

D-Diggle

Voir la fiche auteur

Pub

La Gazette c'est aussi...

Podcast
Podcast
Vidéo
@LaGazetteDuSorcier @GazetteSorcier GazetteDuSorcier @gazette_du_sorcier @gazette_du_sorcier Flux RSS