Very Good Lives, un livre de trop
Le critique du Washington Post, Ron Charles, estime que la publication de Very Good Lives, le discours de J.K. Rowling à Harvard, affaiblit le discours. Pour remplir près de 100 pages avec moins de 3000 mots, les phrases ont été réduites à des fragments illustrés par des dessins dignes de cartes de vœux pré-écrites. Charles regrette dès lors le format et les qui déforce “l’éloquence sans fioriture de l’orateur”. Les bénéfices de la vente de Very Good Lives sont reversés à Lumos. Source Washington Post.