La Chine et Londres, c’est comme Harry et Cho
On sait que Harry Potter fait vendre, si bien que les politiques aiment l’utiliser pour remonter leur cote de popularité et leur portée médiatique. Le dernier à avoir usé de cette astuce, c’est le maire de Londres, Boris Johnson, en visite à l’Université de Pékin. Il a rappelé que, le premier baiser de Harry avait été partagé avec Cho Chang, une “chinoise étudiant outremer à Poudlard”, et que c’était un indicateur de l’avenir radieux qui attendait les universités des deux pays en cas de collaboration plus poussée. Sa logique nous convainc peu, surtout quand on connaît l’issue de cette relation, mais il est indéniable que les universités britanniques ont besoin des étudiants chinois pour survivre financièrement. Source Hollywood Reporter.