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Championnat Européen de Quidditch ; bilan du week-end.

Il est difficile de retranscrire l’ambiance d’un tel évènement, ainsi que le succès indéniable qu’il fut. Nous allons malheureusement devoir nous en tenir à quelques faits et à une brève description de certains matches marquants. Un second article reprendra l’analyse équipe par équipe que nous avions réalisée avant le tournoi et reviendra sur celle-ci à la lumière des évènements du week-end.

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Sommaire

Les résultats

Resultat_Coupe_d_Europe_2014.pdf Inutile de vous passer tous les scores en revue ici : nous vous offrons la possibilité de télécharger un PDF reprenant les scores de tous les matches et le classement de la première et de la deuxième journée de tournoi. Rappelons qu’une analyse précise de chaque équipe sera publiée sous peu et que cet article sert de commentaire plus général.

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Le classement final voit les Oxford Chimeras s’emparer du titre européen, après une victoire contre les tenants du titre, les Paris Phénix. À la troisième place, l’équipe hôte des Belgian Qwaffles réalise un parcours de qualité. Ils sont suivis par Lunatica, Paris Frog et les Belgian Beerters qui complètent la sélection d’équipes européennes s’étant qualifiées automatiquement pour la coupe du monde d’avril prochain.

Lors de la phase de poules, Lunatica a créé la surprise en s’emparant de la première place du groupe A, tandis que l’équipe milanaise des Meneghins était reléguée à la dernière place. Les Quidlings, renforcés de nombreux mercenaires de talent, se sont aisément emparés de la deuxième place et auraient pu se placer premier à un vif près. Le groupe A fut, sans conteste, le groupe le plus disputé mais aussi le plus irrégulier en matière de performances.

Dans le groupe B, le duel Qwaffles-Eagles pour la première place a bien eu lieu et s’est soldé par la victoire de l’équipe locale. L’équipe nantaise, elle, n’est pas parvenue à surprendre ses adversaires, cédant même face aux joueurs inexpérimentés de NTNUI.

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Enfin, le groupe C a vu la victoire des Frog, qui se sont imposés face à leurs rivaux de toujours, les Phénix, grâce à un attrapage de vif, mais qui ont aussi mené la vie dure aux champions britanniques, les Chimeras, obtenant face à eux une égalité de points au souaffle et remportant le match, à nouveau, sur vif d’or. Les Black Snitch n’avaient aucune chance dans le groupe de la mort et ont effectivement fini derniers au classement général de la première journée, subissant parfois de très lourdes défaites.

Les huitièmes de finale sont sans surprise. Les Black Snitches jouent une nouvelle fois de malchance en retombant sur leurs derniers adversaires de la veille, les Chimeras, et perdent toute possibilité de poursuivre le tournoi. Tandis que les Quidlings l’emportent aisément sur Nantes, les Beerters développent un jeu de qualité face à NTNUI et montrent que leur victoire de la veille face aux Meneghins n’était pas qu’un coup de chance. Ces derniers perdent par ailleurs face au Phénix qui sont encore, à ce moment, champions d’Europe et tiennent à le rappeler.

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Les quarts de finale offrent sans doute la série de matches la plus équilibrée du tournoi, à l’exception de l’affrontement Chimeras-Eagles qui ne fait que démontrer la supériorité des britanniques [[Même si les joueurs d’Oxford avouent que le match les a épuisés.]]. Ils sont donc développés plus bas comme ‘matches marquants’. Si les Phénix prennent leur revanche face au Frog, les Quidlings échouent de la même manière que la veille face à Lunatica. Enfin, le derby belge voit la “supposée équipe A” des Qwaffles mise en difficulté par les jeunes anversois des Beerters ; mais le match s’achève à l’avantage des Bruxellois.

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L’issue des demi-finales ne fait aucun doute, les champions britanniques affronteront les Phénix, tenants du titre européen, en finale. Les deux équipes dominent leurs adversaires respectifs et se retrouvent pour une finale digne d’un championnat d’Europe. Les Phénix, même s’ils paraissent plus en forme que la veille, ne parviendront cependant pas à prendre l’ascendant sur les Chimeras qui s’emparent donc de la médaille. Le petite-finale est écourtée pour cause de retard et le seeker floor passe donc de 10 à 5 minutes. Un temps si court ne permet pas vraiment aux équipes de développer leur jeu au souaffle, et c’est alors que les Qwaffles et Lunatica sont au coude à coude que l’attrapeur belge s’empare de la petite balle jaune, hissant son équipe sur le podium.

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Dans l’éliminatoire secondaire, les Black Snitches doivent déclarer forfait pour manque de joueurs et les Meneghins l’emportent tranquillement face à Nantes. Les Frog s’offrent un parcours reposant jusqu’à la 5è place du tournoi, malgré une avalanche de cartons jaunes dans leur match contre les Quidlings. Les matches Beerters-Eagles et NTNUI-Meneghins voient s’affronter des équipes qui ne lâchent rien et se tiennent à portée de vif, mais la fatigue se fait sentir pour tout le monde ; le match face à NTNUI use les Meneghins qui s’inclinent ensuite face aux Beerters. Ces derniers parviennent à faire la différence grâce à leur jeunesse et leur fraîcheur .

Matches et faits marquants

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 Qwaffles-NTNUI (poule) : C’était le premier match du tournoi pour l’équipe locale, mais c’était surtout le premier match à l’international pour NTNUI Rumpledunk, la grande inconnue du tournoi. L’équipe norvégienne n’a pas déçu, se maintenant à portée de vif pendant tout le match.

 Meneghins-Lunatica (poule) : Le derby italien. Les Meneghins sont techniquement la meilleure équipe italienne mais Lunatica a prouvé au cours du tournoi qu’il ne fallait pas les sous-estimer. Par ce match, les Meneghins ont montré qu’ils gardaient la main haute sur leurs compatriotes ; ça ne leur a malheureusement pas suffi.

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Qwaffle-Eagles (poule) : Le match qui allait décider de la première place du groupe B, comme nous l’avions attendu, a tenu toutes ses promesses. Alors qu’ils sont menés 0-30, les Bruxellois arrachent là prolongation grâce à l’efficacité de leur attrapeur. Le moral des Barcelonais a dû en prendre un coup (et la motivation des Qwaffles s’en trouver décuplée) car, en moins de 5 minutes, les Qwaffles enchaînent trois buts et s’empare à nouveau du vif pour s’imposer sur le score de 90^-30.

 Chimera-Phénix (poule) : Le premier match des Chimeras sur le sol continental, face aux champions en titre. Si le score reste serré, la victoire des Chimeras donne le ton : les champions britanniques sont largement à la hauteur et semblent même s’affirmer en favoris.

 Chimeras-Frog (poule) : Retournement de situation, alors qu’ils viennent de l’emporter sur Paris Phénix, les Chimeras sont mis en difficulté par Paris Frog. Le marquoir indique un score de 40-40 lorsque l’attrapeur du Frog s’empare du vif. Suite à ce match, le doute s’installe : Phénix, Frog ou Chimeras, quelle équipe retrouvera-t-on en finale ? Les Frog vont-ils finalement s’imposer et aller jusqu’au bout dans ce tournoi ?

 Frog-Phénix (poule) : Le derby parisien tient ses promesses et, aux dires des joueurs, s’avère être l’un des matches les plus agréables qu’ils aient jamais joués ensemble. Alors qu’ils sont menés 10-30, Paris Frog attrape le vif et gagne face à leur adversaire de toujours. Les Phénix, par le fait qu’ils menaient au score, montrent cependant qu’ils excellent à arrêter les machines à buts que sont les poursuiveurs du Frog et que les deux équipes restent au coude-à-coude malgré des styles de jeux très différents. Cependant, la question se pose à nouveau : Paris Frog semble en grande forme, quelqu’un parviendra-t-il à les arrêter ?

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 Chimeras-Lille, le retour (1/8èF) : Alors que la veille les Chimeras ont déroulé face aux Lillois lors du dernier match de la première journée, le hasard a voulu que les deux équipes se retrouvent pour le premier match du dimanche. Privés de joueurs clé, comme leur attrapeuse blessée la veille ainsi que de leur capitaine, et sans le moindre remplaçant, les Black Snitches parviennent malgré tout à marquer deux buts. Malheureusement, la blessure d’une joueuse lors de ce match force les Black Snitches à renoncer à poursuivre le tournoi dans la phase éliminatoire secondaire. Les Chimeras leur laisseront l’honneur de s’emparer du vif pour mettre fin au match ; dans un remarquable geste de fair-play, le vif exécutera un cochon-pendu accroché à la barre transversale d’un but de football et laissera sa balle pendre dans le vide, sans défense.

 Qwaffle-Beerters (1/4F) : Le derby belge est extrêmement serré, avec un score plutôt élevé de 70 partout avant attrapage du vif d’or. Ce match garantie également la qualification d’au moins une équipe belge pour la Coupe du Monde et le public était au rendez-vous. C’était certainement un des affrontements du week-end à ne pas rater !

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Phénix-Frog, le retour (1/4F) : Les Phénix ont l’occasion de prendre leur revanche sur le match de la veille, et ils la saisissent, éliminant Paris Frog en quart de finale ! Comme la veille, les Phénix mènent au score mais restent à portée de vif ; puis le match dégénère, les coup bas se font plus nombreux et certains joueurs sont sur le point d’en venir aux mains. L’entraîneur des Phénix, Corwin, est exclu suite à deux cartes jaunes consécutives et doit quitter l’espace du tournoi jusqu’à la fin du match. Les Phénix sont privés d’un batteur d’élite et Paris Frog entame une remontée au score ; mais, alors que l’avantage au marquoir se renverse, l’attrapeur des Phénix venge son équipe et la qualifie pour les demi-finales. Ce match laisse cependant un goût amer à plusieurs joueurs (ainsi qu’à certains spectateurs qui regrettent les quelques dérives).

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 Phénix-Chimeras, la finale : La finale tient toutes ses promesses. Les Chimeras, comme la veille dominent leurs adversaires, mais l’attrapeur des Phénix parvient à protéger le vif suffisamment longtemps pour autoriser son équipe à se placer à portée de vif (30-60).
Espérant sans doute décrocher mieux que des prolongations par un attrapage éventuel, et considérant que le gardien britannique s’est vu exclure suite à deux cartes jaunes, l’attrapeur parisien ne se jette cependant pas directement sur la petite balle jaune et attend que son équipe marque un nouveau but… qui n’arrivera pas. Les Chimeras en profite pour remettre de la distance au score et s’emparent finalement du vif pour mettre fin au match (30-100*). Si l’attrapeur des Phénix s’était mis à attaquer le vif dans l’idée d’obtenir une prolongation dès que c’était de l’ordre du possible, le match aurait pu prendre un tournant différent, comme lors de Qwaffle-Eagles ; on ne le saura jamais.

 NTNUI-Meneghins (éliminatoire bis) : La fatigue se fait sentir pour tout le monde, mais NTNUI ne partira pas sans prouver une ultime fois qu’il ne faut pas les sous-estimer. Le match est extrêmement serré, et malgré une rotation d’effectif plus élevée, les Meneghins ne parviennent pas à décoller au score ; NTNUI égalise en permanence et finit même par passer devant. Trop tard, les milanais s’emparent du vif avant que la situation ne bascule entièrement en leur défaveur.

 Lunatica s’impose par deux fois face aux Quidlings. À chaque fois, les italiens sont menés au score mais attrapent le vif d’or.

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Les biens-nommés Lille Black Snitches se sont emparés du vif lors de tous les matches qu’ils ont disputés. Ils ont également marqué au moins un but à chaque fois.

 Les Qwaffles de Bruxelles ont également un taux d’attrapage de 100%. Leurs attrapeurs se sont même emparés de deux vifs en un match (prolongation face aux Barcelona Eagles).

 Quelques joueurs se sont blessés sur le week-end. Outre les interventions mineures, trois joueurs des Lille Black Snitches et deux joueurs des Belgian Qwaffles n’ont pas pu finir le tournoi sur le terrain, aux côtés de leurs coéquipiers. Nous leur souhaitons à tous un prompt rétablissement.

 La boue… si vous regardez les photos, vous comprendrez à quel point cet élément était marquant.

Ambiance, supporters et spectateurs

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Les organisateurs n’avaient pas fait les choses à moitié et, grâce à la publicité offerte par les médias nationaux, de nombreux spectateurs se sont pressés sur le terrain (ou à ses abords, pour éviter la traversée de mares de boue). Quelques points positifs et enthousiasmants du week-end :

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Les tentes, la bouffe et la bièraubeurre : avoir prévu des tentes pour les joueurs (à défaut de vestiaires), des braséros, des chauffage de terrasse, de la petite restauration et des boissons… bah c’était vraiment sympa, parce que ça donnait au tournoi un côté vraiment convivial. La bièraubeurre (la vraie !) était assez agréable comme boisson chaude et était un ajout parfait pour les spectateurs attirés par l’aspect Harry Potter du sport. Encore merci aux volontaires qui ont servi boissons et croque-monsieurs toute la journée !

 La présence en masse de la presse a fait une pub extraordinaire au quidditch (en tout cas, en Belgique). Les trois plus grosses chaînes nationales ont réalisé un reportage pour le journal parlé et de nombreux médias locaux se sont également pressés sur place. Vous retrouverez tous les articles et reportages réalisés ce week-end plus bas dans cet article.

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 Certains spectateurs venus pour encourager une équipe spécifique avaient préparé des accessoires pour ce faire. Par exemple, deux d’entre eux étaient présents avec un blason de Belgium Muggle Quidditch (voir la photo) ! Lors de la finale, le public a définitivement choisi son camp et les acclamations lors d’actions impressionnantes/litigieuses donnaient vraiment le sentiment d’assister à un match de championnat. On a même vu des parents prendre des photos de leurs enfants avec les joueurs, comme avec des sportifs professionnels.

 Les scouts et louveteaux venus assister au tournoi, demandant de s’initier au sport et faisant signer des autographes à certains joueurs.

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Le ressenti positif des spectateurs : La plupart des spectateurs auxquels j’ai pu parler ont apprécié ce qu’ils ont vu. Certains ont affirmé vouloir revenir assister à un évènement similaire quand d’autres ont simplement envie de se lancer eux-mêmes dans l’aventure. Le quidditch est devenu un sport aux yeux de la majorité d’entre eux et plus une fantaisie de fan d’Harry Potter. Tous m’ont parlé du sentiment de fairplay et de respect qui émanait de l’ensemble du tournoi, ainsi que de leur impression que les équipes étaient toutes amies (avec les embrassades de fin de match, les équipes se supportant les unes les autres)… quand on est joueur, on sait qu’il y a de ça et savoir que ça se ressent dans le public est vraiment un point extrêmement positif.

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– En effet, le nombre de marques de fairplay ce week-end était impressionnant. Chaque joueur devant sortir du terrain était applaudi par tous les joueurs, vous avez déjà lu l’histoire du vif offert à Lille par les Chimeras, et je ne compte pas le nombre de buts que les équipes ont elles-mêmes signalé comme invalides/valides.

 La soirée entre joueurs au bar The Corner fut vraiment sympathique. Une bonne ambiance entre les équipes hors du terrain.

 La boue faisait aussi partie de l’ambiance… si quelqu’un était présent ce week-end et considère que la boue n’était pas un fait suffisamment « marquant » (dans tous les sens du terme) pour être cité deux fois, on n’a pas assisté au même tournoi.

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Facéties de Vifs

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Les vifs d’or et leurs facéties sont souvent source d’amusement pour le public. Ce week-end, les vifs ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour assurer le spectacle. Outre les tours d’honneur en tapant dans la main des spectateurs ou les sauts au travers des anneaux de buts, voici une sélection de leurs “exploits”. Leur nom est indiqué entre parenthèses.

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  •  Après avoir coincé quelques branches dans son bandeau, un vif est revenu sur le terrain en criant ‘I am under cover![“Je suis incognito/à couvert/sous camouflage.”]] ([photo). (Damien)
  • Un vif a barbouillé les attrapeurs de mousse à raser avant de quitter le terrain. (Dale)
  • Un vif a couvert les joueurs de farine avant le Brooms Up (photo). (Dale)
  • Un vif belge s’amusait à enfourner une gaufre dans la bouche des deux attrapeurs, avant d’en offrir une à l’arbitre principal de la rencontre (photo). (Tanghi)
  •  Un vif a barbouillé les visages des attrapeurs de boue, après avoir réalisé une glissade magistrale pour leur apparaître sous les yeux lors du Brooms Down (photo). (Ben)
  • Un vif a distribué des cartes aux attrapeurs, avec l’aide de jeunes scouts présents dans le public, afin qu’ils puissent jouer en son absence. Le reste du paquet leur a été jeté à la figure lors de son retour sur le terrain (vidéo). (Dale)
  • Un vif est monté en voiture avec une équipe de télévision afin d’aller boire un café pendant le Seeker Floor. (photo) (reportage ICI vers 17min). (Tanghi).
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Certains vifs n’ayant jamais “snitché” auparavant, il nous faut leur tirer notre chapeau : le niveau était impressionnant et les attrapeurs ont parfois eu bien du mal. Tanghi, Dale, Even et Damien (et un allemand dont nous avons oublié le nom) ont particulièrement payé de leur personne, snitchant presque tous les matches du tournoi à eux cinq et faisant à chaque fois preuve d’une maestria indéniable.

La Revue de Presse

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Ce championnat européen a été une aubaine en matière de communication avec les médias ; c’était en effet la première fois que tant d’équipes internationales se rassemblaient ! De plus, la Belgique étant un petit pays, les journaux nationaux se sont emparés de l’évènement (là où, dans de plus grands pays, l’information serait potentiellement restée locale). Voici l’ensemble des articles que nous avons trouvé sur le sujet.

Il est amusant de constater l’évolution au cours du week-end. Ainsi, la Dernière Heure a réalisé deux articles sur le championnat ; le premier était classé dans les informations régionales, le deuxième a été classé dans les informations sportives. Ne craignant pas l’exagération, Le Parisien est même allé jusqu’à qualifier l’évènement de “compétition majeure” en le comparant au Tournoi des Six Nations (rugby) : un peu démesuré, mais flatteur et extrêmement positif pour le quidditch !

Comme la Belgique est trilingue, quelques reportages ont aussi eu lieu en Néerlandais, en Allemand et même en Anglais :

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Des photos en pagaille

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P.S. :
Merci à Thibault Kruyts pour ses photos que vous retrouverez sur European Quidditch Photography
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Pantalaemon

Responsable communication

Poufsouffle Serdaigle Journaliste
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